Selon ces responsables politiques, aussitôt le substitut général de la cour d’appel prend la décision de démissionner du Haut Conseil de la Magistrature pour dénoncer le mode de fonctionnement de cet organe en charge de la carrière des magistrats, le vociférateur de service monte au créneau, encore une fois, pour « cracher du feu ».
La Convention des Cadres du Grand Parti attire l’attention des responsables sur le devoir sacré de défendre les valeurs de démocratie et de liberté chèrement acquises à la suite de combats épiques menés par le peuple à travers ses différentes composantes.
« Elle s’indigne par ailleurs de la violence avec laquelle un prétentieux député s’épanche dans la presse pour accuser, calomnier et condamner sans aucune forme de procès un magistrat de haut rang, au mépris des règles élémentaires de courtoisie et d’élégance devant gouverner les actes et les prises de parole d’une autorité de cette dimension », ajoute le texte.
Pour la Convention, une République respectable a besoin d’une justice stable et vertueuse en mesure de garantir la paix sociale, la tranquillité à tous les sujets de droit, y compris ceux qui se croient au dessus du commun des mortels.