Menu



“Remerciements et Appel à l’Engagement pour un Avenir Républicain” Serigne Bassirou Mbacké Abdou Khadr Mbacké: "Il est impossible d’implanter une école publique française dans le périmètre du titre foncier de Touba" Asphixie de la presse: la CAP tire la sonnette d'alarme Qui veut tuer la presse sénégalaise? Limogeage de Cheikh Dieng : la version du délégué du personnel de l'ONAS 𝑹𝒆𝒕𝒐𝒖𝒓 𝒔𝒖𝒓 𝒎𝒂 𝒗𝒊𝒔𝒊𝒕𝒆 𝒄𝒉𝒆𝒛 𝒍'𝒂𝒓𝒄𝒉𝒆𝒗𝒆̂𝒒𝒖𝒆 𝒅𝒆 𝑫𝒂𝒌𝒂𝒓, 𝑴𝒐𝒏𝒔𝒆𝒊𝒈𝒏𝒆𝒖𝒓 𝑩𝒆𝒏𝒋𝒂𝒎𝒊𝒏 𝑵𝑫𝑰𝑨𝒀𝑬 𝒔𝒖𝒓 𝒊𝒏𝒔𝒕𝒓𝒖𝒄𝒕𝒊𝒐𝒏 𝒅𝒖 𝑷𝒓𝒆𝒎𝒊𝒆𝒓 𝑴𝒊𝒏𝒊𝒔𝒕𝒓𝒆 𝑶𝒖𝒔𝒎𝒂𝒏𝒆 𝑺𝒐𝒏𝒌𝒐. Dr Aminata Sarr, directrice de la Télédiffusion du Sénégal (Tds-Sa), relève la vétusté des infrastructures et les besoins financiers nécessaires à leur renouvellement La Ligue des Imams défend Sonko: "Le Premier ministre est soucieux de notre vivre-ensemble suivant nos propres modèles et références" Monseigneur André Guèye, évêque de Thies sur le voile à l'école: "nous voulons plus de respect et de justice, nous revendiquons la liberté de mener nos activités"  Voile à l'école: Le Conseil national du Laïcat indigné par les "declarations maladroites" de Sonko

L'essentiel


google.com, pub-1148023042834496, DIRECT, f08c47fec0942fa0


​ Voter au Sénégal en 2017 (Par Mamadou Sy Tounkara)

TRIBUNE LIBRE
Lundi 7 Août 2017

La première leçon à retenir des élections législatives du 30 juillet 2017 est l’incroyable carence de notre Etat à organiser quoi que ce soit de manière satisfaisante: ni politique sectorielle ou globale, ni Concours général, ni baccalauréat, ni BFEM, ni élections. Le sérieux n’est pas encore notre tasse de thé. Heureusement que le général Lamine Cissé avait mis en place depuis 2000 des procédures militaires qui rendent le vol dans les urnes impossible. Il ne reste plus que les bureaux de vote fictifs et l’empêchement anticonstitutionnel à voter de citoyens.

Ensuite, les populations se plaignent de l’incompétence et de la malhonnêteté des politiciens mais votent massivement en leur faveur. Syndrome sénégalais. Tout le monde pleure le « pays qui ne marche pas » du fait d’un système et de dirigeants prédateurs mais ils méritent largement nos voix. La majorité mécanique de notre Assemblée nationale sortante est la plus décriée de toute notre histoire politique à cause de son manque de productivité et d’exemplarité pourtant elle est confortablement reconduite. Nos enfants et nos petits-enfants auront, très certainement, à dire sur nous.

Par ailleurs, le système électoral rappelle qu’il est d’un autre âge : 49% des votes assurent 75% des sièges à l’Assemblée.
Ce scrutin a sonné le glas de certains politiciens professionnels, poussés dehors par une offre politique alternative, celle des Indépendants qui participaient à une élection législative pour la première fois dans l’histoire du Sénégal.

Ces Indépendants ont eu des scores honorables prometteurs. Pour une toute première apparition avec de maigres moyens, des dizaines de milliers de Sénégalais ont voté pour eux, sans aucune forme de corruption, ouvrant la voie à un Sénégal autre, dans vingt ans, dans lequel le savoir, le travail, la rigueur, la propreté et le bon comportement seront les seules références.
Mamadou Sy Tounkara
 

Nouveau commentaire :

POLITIQUE | ECONOMIE | SOCIETE | CULTURE | SPORT | INTERNATIONAL | PEOPLE | TV & RADIO | TRIBUNE LIBRE | CONFIDENTIEL | COUP DE COEUR | COUP DE GUEULE | PORTRAIT | LETTRE DU JOUR | VU SUR FACEBOOK | FAITS DIVERS | INSOLITE | ILS ONT OSE LE DIRE | MEDIAS | EDITORIAL | COMMUNIQUE | NECROLOGIE | PUBLIREPORTAGE | NTIC | SANTE | JUSTICE | DIPLOMATIE | DIPLOMATIE | GUEST EDITORIALISTE | ENVIRONNEMENT | INSTITUTIONS | RELIGION | EDUCATION | AGRICULTURE | PAROLE DE CAMPAGNE | Antivirus, la chronique d'Abdoulaye Der | COVID-19 | KEEMTAAN GI | Echos des Locales 2022