Le premier est accusé de viols et menaces de mort par Adji Sarr.
La seconde, propriétaire de l’institut Sweet Beauty où se seraient déroulés les faits présumés, est poursuivie, notamment proxénétisme et atteinte aux bonnes mœurs.
Cependant les contours d’un procès se précisent même si le dernier mot revient au Doyen des juges.
En effet le magistrat peut suivre le réquisitoire du procureur et renvoyer les parties en procès ou bien prononcer un non-lieu et classer l’affaire.