C'est le New York Post, qui, le premier a parlé d'une possible idylle, début février. Pamela Anderson a confirmé à demi-mots, le 23 février, au micro de la radio américaine KiisFM: "J'ai passé plus de temps à discuter avec Julian qu'avec tous mes ex-maris réunis". Interrogée sur la nature de leur relation, elle a révélé: "On n’a jamais voulu que tout ça devienne une relation romantique, on voulait juste joindre nos forces pour faire quelque chose d’important. On n’a jamais voulu ça. Mais ça arrive".
La starlette canadienne défend la cause de l'activiste de 45 ans, réfugié à l'ambassade d'Equateur à Londres pour éviter une extradition vers la Suède où des accusations de viol sont portées à son encontre.
"C'est une personne séduisante"
"La Suède a des lois très progressistes contre les crimes sexuels, a-t-elle expliqué lors d'une émission télévisée russe. C'est presque trop progressiste, et c'est presque paralysant. Je vais commencer à faire campagne pour les hommes qui ont été victimes d'accusation de viol alors qu'ils n'ont en fait rien fait". Pamela Anderson a elle-même révélé en janvier 2014 avoir été abusée sexuellement dans son enfance.
Le 15 février dernier, le cyber-activiste australien, interrogé par la même radio, avait lâché au sujet de l'actrice: "C'est une personne séduisante avec une personnalité séduisante. Elle est loin d'être idiote. Psychologiquement, elle a beaucoup de bon sens".
Julian Assange craint que la Suède ne l'envoie ensuite vers les Etats-Unis où il devrait répondre de la publication par WikiLeaks des documents militaires et diplomatiques révélés par Chelsea Manning.
Le fondateur de WikiLeaks s'est dit prêt mi-janvier à se rendre aux Etats-Unis, où il court le risque de lourdes accusations, à condition que ses droits soient garantis.