« En politique, on ne fait pas la guerre. Je ne fais pas la guerre. Je cherche à convaincre pour faire triompher mes idéaux et mes convictions. Je peux avoir des adversaires politiques mais jamais d’ennemis », dit-il.
Le socialiste de préciser que la violence est l’une des principales causes de la crise actuelle de la vie politique au Sénégal non sans rappeler que les plus jeunes en sont les principales victimes.
« J’ignore jusqu’à l’idée de la haine qui est la pire ennemie de la démocratie. La démocratie dépérit quand la violence devient le recours systématique à la place du débat d’idées, de la réflexion », conclut-il.