
«On ne voit pas de lien ou d’orientation pour passer de l’élevage à l’industrie. On est dans un élevage pratiquement de survie. Cela ne nous surprend pas si on regarde le budget alloué à ce ministère 23 milliards, c’est l’équivalent du marché le plus petit du Train express régional (TER). Car le marché des ripages des voies métriques coute 22 milliards. Et si on regarde l’ensemble des programmes que vous avez, ils ne font pas 22 milliards sur 5 ans», a-t-il chambré avant d'ajouter : «Vous ne pourriez jamais atteindre un élevage d’émergence avec des orientations aussi faibles parce qu’il manque une vision et des moyens. Cela traduit une erreur dans les objectifs de ce pays que ça soit dans l’agriculture, et de l’élevage. On est train de se focaliser dans les réalisations pharaoniques, qui ne sont absolument pas des priorités et qui ne structurent pas une économie de développement.»