Il s’agit entre autres de la régulation du marché de la publicité, la question de la concentration dont certains groupes de presse ne font pas attention, l’instauration d’un organe de contrôle qui se consacrerait à la vérification de la conformité du nombre de tirage déclaré par organes de presse, etc.
Face à cet était de fait le patron de presse ne cache pas sa déception. «C’est un rendez-vous manqué. On aurait pu aller plus loin», a affirmé M. Diagne.
Par ailleurs, il a déploré le fait que des groupes de presse excèdent le nombre de supports dont ils ont droit légalement. Et d’autres groupes qui, en plus, possèdent des agences de communication, des instituts de sondage…
Sur un autre plan, Madiambal Diagne a déploré le fait que depuis des années la presse ne soit pas dans «des mains expertes».
/>/> Président de l’Union internationale de la presse francophone (UPF), M. Diagne a soutenu avoir «réussi donner ses lettres de noblesse à cette institution devenu la plus crédible à travers le monde». «J’ai bien réussi là-bas», s’est félicité le président de l’UPF. Il affirme avoir notamment réussi à résoudre les problèmes de gestion, à faire la levée de fonds parce qu’a son arrivé l’institution connaissait de problème de gestion et avait des déficits.
Alors que son deuxième mandat, à la tête de cette institution s’achève en 2018, Madiambal dit n’être pas intéressé par un 3è mandat et ce, malgré ce bilan que lui-même présente comme élogieux.
Selon lui, sur la demande insistante des membres de l’organisation qu’il avait n’accepté un deuxième mandat de deux ans. «On m’a mis la camisole de force».
Avec Senenews