
Aujourd’hui, ils sont dans le désarroi et mais précisent-ils, «ils ne vont pas se laisser faire parce qu’ils sont convaincus de l’innocence de Imam Alioune Ndao». Dans leur plan d'action, ils ont fait savoir qu'il n'y aura pas de BFEM, ni de Bac arabe dans leur localité. Cependant, ils déplorent «le mutisme lâche des chefs religieux qui ont peur de se prononcer sur le cas de leur guide religieux».