Menu



“Remerciements et Appel à l’Engagement pour un Avenir Républicain” Serigne Bassirou Mbacké Abdou Khadr Mbacké: "Il est impossible d’implanter une école publique française dans le périmètre du titre foncier de Touba" Asphixie de la presse: la CAP tire la sonnette d'alarme Qui veut tuer la presse sénégalaise? Limogeage de Cheikh Dieng : la version du délégué du personnel de l'ONAS 𝑹𝒆𝒕𝒐𝒖𝒓 𝒔𝒖𝒓 𝒎𝒂 𝒗𝒊𝒔𝒊𝒕𝒆 𝒄𝒉𝒆𝒛 𝒍'𝒂𝒓𝒄𝒉𝒆𝒗𝒆̂𝒒𝒖𝒆 𝒅𝒆 𝑫𝒂𝒌𝒂𝒓, 𝑴𝒐𝒏𝒔𝒆𝒊𝒈𝒏𝒆𝒖𝒓 𝑩𝒆𝒏𝒋𝒂𝒎𝒊𝒏 𝑵𝑫𝑰𝑨𝒀𝑬 𝒔𝒖𝒓 𝒊𝒏𝒔𝒕𝒓𝒖𝒄𝒕𝒊𝒐𝒏 𝒅𝒖 𝑷𝒓𝒆𝒎𝒊𝒆𝒓 𝑴𝒊𝒏𝒊𝒔𝒕𝒓𝒆 𝑶𝒖𝒔𝒎𝒂𝒏𝒆 𝑺𝒐𝒏𝒌𝒐. Dr Aminata Sarr, directrice de la Télédiffusion du Sénégal (Tds-Sa), relève la vétusté des infrastructures et les besoins financiers nécessaires à leur renouvellement La Ligue des Imams défend Sonko: "Le Premier ministre est soucieux de notre vivre-ensemble suivant nos propres modèles et références" Monseigneur André Guèye, évêque de Thies sur le voile à l'école: "nous voulons plus de respect et de justice, nous revendiquons la liberté de mener nos activités"  Voile à l'école: Le Conseil national du Laïcat indigné par les "declarations maladroites" de Sonko

L'essentiel


google.com, pub-1148023042834496, DIRECT, f08c47fec0942fa0


« Le Franc Cfa à bon dos » (Par Samba Ndiaye)

TRIBUNE LIBRE
Dimanche 17 Septembre 2017

« Le Franc Cfa à bon dos » (Par Samba Ndiaye)
« Dans sa chronique du Vendredi 08 Septembre 2017 sur la chute de la statue de Faidherbe à Saint Louis, Mamadou Ibra KANE, le Directeur général du Groupe Futurs Médias (GFM) concluait dans ce contexte précis que « le problème ce n’est pas la France, le problème c’est nous ».
 
Une fois n’est pas coutume, je m’approprie cette assertion pour affirmer d’emblée, au sujet du franc CFA que « le problème ce n’est pas la France, le problème c’est nous ».
En effet, il serait très intéressant que nos économistes nous renseignent sur le montant estimatif cumulé en milliards de franc CFA qui a été officiellement introduit à travers nos Etats  en zone UEMOA, depuis les Indépendances.
                                         
Ce serait effarant !
 
C’est pourquoi, une analyse plus objective de nos choix et orientations politico-économiques s’impose.
 
Il en découlerait incontestablement que la problématique de notre sous-développement n’est pas véritablement tributaire de la configuration de notre monnaie.
 
D’ailleurs, combien de pays en Afrique ayant une monnaie dite locale ne se porte guère mieux que les nôtres ?
 
Je ne peux m’empêcher de donner l’exemple du Nigéria, qui avec sa force du pétrole et sa propre monnaie vit des situations chaotiques.
 
Souvenons-nous d’ailleurs, qu’un défunt Président de ce pays, (1993/1998) Sani ABACHA avait détourné avant sa mort près de 2 milliards de dollars.
 
C’est donc dire que quel que soit la nature de la monnaie d’un pays, si les préalables de bonne gouvernance et d’orientations stratégiques axées sur le développement ne sont pas posés, on trouvera toujours des paramètres subjectifs pour en faire des boucs émissaires.
 
Loin de moi l’idée de dégager en touche ce combat, mais le vrai combat c’est comment chacun de nous peut apporter concrètement sa pierre à l’édification d’une société plus juste et plus équilibrée.
 
Sous ce rapport, j’estime que ces combattants anti CFA auraient mieux fait d’intégrer dans leurs actions la lutte contre la pauvreté.
 
En quoi faisant ?
 
Par exemple, en choisissant dans les pays où ils  se rendent ; souvent avec « armes », bagages et moyens financiers, d’offrir un système d’électrification solaire à deux pauvres hameaux.
 
En réalité, nous laissons beaucoup de plumes et consacrons énormément d’énergie dans des combats de prestige ou d’égo existentiel, qui charrient la critique facile.
Je dois rappeler qu’avec le franc CFA, des Africains, en travaillant dur et honnêtement ont fait fortune et se sont faits un nom.
 
Je peux citer au Sénégal, le défunt fondateur de la Compagnie Sahélienne d’Entreprise (CSE) Aliou SOW et Youssou Ndour qui, à la sueur de leurs fronts et sous nos yeux, n’ont certainement pas eu le temps d’accuser notre monnaie de tous les maux.
Au Nigéria, dans un autre environnement monétaire Aliko Dangote a fait fortune  dans son pays.
 
Même si l’esclavage et la colonisation ont détruit les fondements de nos sociétés, il y a plusieurs siècles, nous ne devons quand même pas passer tout notre temps à nous lamenter sur notre sort et à accuser les autres.
 
Comme les personnalités que j’ai citées plus haut, si dans nos pays nous continuons à améliorer la gestion de nos ressources et à les investir à bon escient, il est clair que nous réussirons à émerger quel que soit la nature de notre monnaie.
Nous avons l’entière responsabilité de nos options de développement individuel et collectif.
 
L’occident n’a jamais dicté ou reproché à nos dirigeants la mise en œuvre, de programmes de développements d’intérêts communautaires comme la case des tous petits, le Programme d’Urgence de Développement Communautaire (PUDC) ou le Programme de Modernisation des Villes (PROMOVILLES), tous financés à travers notre monnaie pour lutter contre la pauvreté et le déséquilibre social.
 
C’est justement parce que des solutions viables comme celles-là existent pour juguler la pauvreté, qu’aucun pays n’a jamais jugé nécessaire de quitter notre organisation économique et monétaire.
 
Je doute que  toutes les générations de dirigeants Africains confondues, qui ont eu à conduire jusque-là les destinées de nos pays, soient moins courageuses  et patriotiques que les contempteurs du  franc CFA.
 
Ces derniers très prolixes à essayer de démontrer que cette devise plombe nos économies ; par parallélisme des formes et dans un souci de transparence devraient également évaluer les coûts et autres impacts inhérents à la construction et à l’introduction d’autres monnaies dans nos systèmes économiques.
 
De ce point de vue, pour le moment, on peut retenir la thèse du Directeur national de la BCEAO qui a estimé que l’impression des billets nous coûte entre 25 et 35 milliards de francs CFA par an, alors que l’amortissement annuel d’éventuelles infrastructures de production de billets serait d’environ 60 milliards de francs CFA.
 
En tout état de cause, même si notre développement doit être conduit par les hommes politiques, il doit être porté par toutes les composantes de nos jeunes nations, y compris par la société civile, certes à travers des idées, mais aussi et surtout par une implication plus accrue dans le soutien concret aux populations démunies.
 
Où, le problème ce n’est pas le franc CFA, le problème c’est nous ».
 
Samba Ndiaye, Maire de Ndoffane, Président du Mdis
 


1.Posté par samba diegane thiare le 28/09/2017 20:02
Très bien dit son excellence SAMBA NDIAYE voici des illustrations pertinentes. Monsieur votre argumentation a montre que vous etes a la heuteur votre staut d'homme politique que vous votre position montre toujour des verites de hautes facture. Si tous les hommes politique avaient des même perspectives de refelection et de contribution dans les débat politiques pour le développement du pays le Sénégal sera de l'avant,initiles et fitule que des hommes mals intentionné fait aparaitre dans la scene poltique politicienne pour leur propre intérêt sa ces insensé de pense que le pays va les croire pour des débats qui ne vise que leurs intérêts. Son excellence SAMBA NDIAYE MAIRE DE LA COMMUNE DE NDOFFANE UN REFERENCE ET UN EXEMPLE DE PREMIER CHOIX DANS SA REGION POUR SON COURAGE SON TRAVAIL MAIS AUSSI SA SIMPLICITÉ ET SA COURTOISIE POUR SA POPULATION. Si LE PRESIDENT MACKI SALL AVAIT DES HOMMES COMME SAMBA NDIAYE J'EN SUIS SUR QUE LE PAYS SERA DE L'AVANT. SE MESSAGE EST DESTINE A LA POPULATION DU SENEGAL QUE LE DIGNE FILS DU SALOUM ST UN HOMME DE BONNE FOI. SON EXCELLENCE MACKI SALL TA BESION DE SAMBA NDIAYE A TES POUR POUR QU'IL VOUS ACCOMPAGNE DANS VOTRE TRES BON TRAVAIL QUE VOUS MENÉ PARTOUT AU SENEGAL LE FCFA NE PAS ETRE BANNI DU JOIR AU LENDEMAIN IL NOUS TOUJOUR RENDU SERVIVE DEPUIS DES DÉCENNIES CEST PAS UN BON JOUR QUE UNE GROUPE SE LEVE POUR ABOLURE LE FCFA A LA MINUTE QUI SUIT NON TOUT DROIT ETRE ETUDIÉ A TEMP REEL AVEC DES SPÉCIALISTE DE SON DOMAIN POUR QUIL EST UN SENS DANS SA DÉMARCHE STRATÉGIQUE ET NON AGIRE COMME ANIMAUX ON DES CERVEAUX QUI NOUS PERMET DE AGIRE DANS LE BON SENS CAR LA RAISON EST LA CHOSE MA MIEUX PARTAGE AU MONDE MAIS LEURS APPLICATIONS QUI DIFFERE . SAMBA NDIAYE REKKKKKKKKK!!!!¡!!!

2.Posté par samba diegane thiare le 28/09/2017 20:03
Très bien dit son excellence SAMBA NDIAYE voici des illustrations pertinentes. Monsieur votre argumentation a montre que vous etes a la heuteur votre staut d'homme politique que vous votre position montre toujour des verites de hautes facture. Si tous les hommes politique avaient des même perspectives de refelection et de contribution dans les débat politiques pour le développement du pays le Sénégal sera de l'avant,initiles et fitule que des hommes mals intentionné fait aparaitre dans la scene poltique politicienne pour leur propre intérêt sa ces insensé de pense que le pays va les croirez pour des débats qui ne vise que leurs intérêts. Son excellence SAMBA NDIAYE MAIRE DE LA COMMUNE DE NDOFFANE UN REFERENCE ET UN EXEMPLE DE PREMIER CHOIX DANS SA REGION POUR SON COURAGE SON TRAVAIL MAIS AUSSI SA SIMPLICITÉ ET SA COURTOISIE POUR SA POPULATION. Si LE PRESIDENT MACKI SALL AVAIT DES HOMMES COMME SAMBA NDIAYE J'EN SUIS SUR QUE LE PAYS SERA DE L'AVANT. SE MESSAGE EST DESTINE A LA POPULATION DU SENEGAL QUE LE DIGNE FILS DU SALOUM ST UN HOMME DE BONNE FOI. SON EXCELLENCE MACKI SALL TA BESION DE SAMBA NDIAYE A TES POUR POUR QU'IL VOUS ACCOMPAGNE DANS VOTRE TRES BON TRAVAIL QUE VOUS MENÉ PARTOUT AU SENEGAL LE FCFA NE PAS ETRE BANNI DU JOIR AU LENDEMAIN IL NOUS TOUJOUR RENDU SERVIVE DEPUIS DES DÉCENNIES CEST PAS UN BON JOUR QUE UNE GROUPE SE LEVE POUR ABOLURE LE FCFA A LA MINUTE QUI SUIT NON TOUT DROIT ETRE ETUDIÉ A TEMP REEL AVEC DES SPÉCIALISTE DE SON DOMAIN POUR QUIL EST UN SENS DANS SA DÉMARCHE STRATÉGIQUE ET NON AGIRE COMME ANIMAUX ON DES CERVEAUX QUI NOUS PERMET DE AGIRE DANS LE BON SENS CAR LA RAISON EST LA CHOSE MA MIEUX PARTAGE AU MONDE MAIS LEURS APPLICATIONS QUI DIFFERE . SAMBA NDIAYE REKKKKKKKKK!!!!¡!!!

Nouveau commentaire :

POLITIQUE | ECONOMIE | SOCIETE | CULTURE | SPORT | INTERNATIONAL | PEOPLE | TV & RADIO | TRIBUNE LIBRE | CONFIDENTIEL | COUP DE COEUR | COUP DE GUEULE | PORTRAIT | LETTRE DU JOUR | VU SUR FACEBOOK | FAITS DIVERS | INSOLITE | ILS ONT OSE LE DIRE | MEDIAS | EDITORIAL | COMMUNIQUE | NECROLOGIE | PUBLIREPORTAGE | NTIC | SANTE | JUSTICE | DIPLOMATIE | DIPLOMATIE | GUEST EDITORIALISTE | ENVIRONNEMENT | INSTITUTIONS | RELIGION | EDUCATION | AGRICULTURE | PAROLE DE CAMPAGNE | Antivirus, la chronique d'Abdoulaye Der | COVID-19 | KEEMTAAN GI | Echos des Locales 2022