Selon les défenseurs des droits de l’homme, cette détention provisoire de Houlèye Mané et compagnie constitue une atteinte grave à la liberté d’expression et au caractère secret de la correspondance.
Et par conséquent, ils demandent leur remise en liberté immédiate et l’abandon des poursuites pour «délits de diffusion d’images contraires aux bonnes mœurs» et «association de malfaiteurs».