Et contrairement à une rumeur très répandue, le journal précise que «le fils d’Abdoulaye Wade n’aurait, souscrit aucun engagement d’exil perpétuel ni pris la décision de se retirer de la scène politique nationale au moment de sa libération surprise suivi de son départ au Qatar au petit matin du 24 juin 2016».
C’est la raison pour laquelle, «en attendant de retrouver son domicile de Point E, Karim Wade anime, depuis son lieu d’exil, les activités de quelques 800 mouvements de soutien créés par ses partisans pour porter, le moment venu, sa candidature à la présidentielle de 2019» ajoute la Lettre du Continent.