Menu



“Remerciements et Appel à l’Engagement pour un Avenir Républicain” Serigne Bassirou Mbacké Abdou Khadr Mbacké: "Il est impossible d’implanter une école publique française dans le périmètre du titre foncier de Touba" Asphixie de la presse: la CAP tire la sonnette d'alarme Qui veut tuer la presse sénégalaise? Limogeage de Cheikh Dieng : la version du délégué du personnel de l'ONAS 𝑹𝒆𝒕𝒐𝒖𝒓 𝒔𝒖𝒓 𝒎𝒂 𝒗𝒊𝒔𝒊𝒕𝒆 𝒄𝒉𝒆𝒛 𝒍'𝒂𝒓𝒄𝒉𝒆𝒗𝒆̂𝒒𝒖𝒆 𝒅𝒆 𝑫𝒂𝒌𝒂𝒓, 𝑴𝒐𝒏𝒔𝒆𝒊𝒈𝒏𝒆𝒖𝒓 𝑩𝒆𝒏𝒋𝒂𝒎𝒊𝒏 𝑵𝑫𝑰𝑨𝒀𝑬 𝒔𝒖𝒓 𝒊𝒏𝒔𝒕𝒓𝒖𝒄𝒕𝒊𝒐𝒏 𝒅𝒖 𝑷𝒓𝒆𝒎𝒊𝒆𝒓 𝑴𝒊𝒏𝒊𝒔𝒕𝒓𝒆 𝑶𝒖𝒔𝒎𝒂𝒏𝒆 𝑺𝒐𝒏𝒌𝒐. Dr Aminata Sarr, directrice de la Télédiffusion du Sénégal (Tds-Sa), relève la vétusté des infrastructures et les besoins financiers nécessaires à leur renouvellement La Ligue des Imams défend Sonko: "Le Premier ministre est soucieux de notre vivre-ensemble suivant nos propres modèles et références" Monseigneur André Guèye, évêque de Thies sur le voile à l'école: "nous voulons plus de respect et de justice, nous revendiquons la liberté de mener nos activités"  Voile à l'école: Le Conseil national du Laïcat indigné par les "declarations maladroites" de Sonko

L'essentiel


google.com, pub-1148023042834496, DIRECT, f08c47fec0942fa0


Guinée : cinq morts, 30 blessés au cours d’une manifestation

INTERNATIONAL
Mardi 21 Février 2017

La Guinée en ébullition
La Guinée en ébullition
Au moins cinq personnes ont été tuées lundi à Conakry lors de violents heurts entre forces de l’ordre et manifestants. Ces derniers réclamaient la reprise des cours dans les écoles du pays, closes par le gouvernement depuis trois semaines.

«Non déclarées et interdites», les manifestations dans la capitale guinéenne «ont malheureusement causé la mort d’au moins cinq personnes» et fait «30 blessés, dont des membres des forces de l’ordre», a précisé le gouvernement dans un communiqué.
Un bilan confirmé par une source jointe par l’AFP à l’hôpital Ignace Deen de Conakry, qui indique que les victimes ont toutes été touchées par balles.

Les heurts ont éclaté au lendemain de la signature dimanche d’un accord entre syndicats et gouvernement, destiné à mettre fin à la grève des enseignants qui dure depuis le 6 février. « Les parties ont convenu de se retrouver ce lundi pour la signature formelle de cet accord », avait alors déclaré le gouvernement.

Les écoles fermées depuis le 1er février

Mais il semble que la base syndicale soit restée insensible à cette annonce. D’après des enseignants et des témoins joints par téléphone, le mouvement était toujours bien suivi lundi à Conakry et dans le reste du pays, ce qui aurait provoqué l’exaspération des manifestants favorables à la réouverture des établissements.

Ces dernières semaines, les manifestations violentes se sont succédé dans la capitale, conduisant le gouvernement à fermer les écoles dès le 1er février. Après des discussions avec des responsables syndicaux, les autorités avaient enjoint aux professeurs de reprendre le travail le 13 février. Un appel resté lettre morte auprès des syndicats, qui ont poursuivi leur mouvement.

Soutenus par les élèves, les enseignants réclament l’intégration des vacataires dans la fonction publique, ainsi qu’une augmentation de salaires et de meilleures conditions de travail.
Avec AFP

Nouveau commentaire :

POLITIQUE | ECONOMIE | SOCIETE | CULTURE | SPORT | INTERNATIONAL | PEOPLE | TV & RADIO | TRIBUNE LIBRE | CONFIDENTIEL | COUP DE COEUR | COUP DE GUEULE | PORTRAIT | LETTRE DU JOUR | VU SUR FACEBOOK | FAITS DIVERS | INSOLITE | ILS ONT OSE LE DIRE | MEDIAS | EDITORIAL | COMMUNIQUE | NECROLOGIE | PUBLIREPORTAGE | NTIC | SANTE | JUSTICE | DIPLOMATIE | DIPLOMATIE | GUEST EDITORIALISTE | ENVIRONNEMENT | INSTITUTIONS | RELIGION | EDUCATION | AGRICULTURE | PAROLE DE CAMPAGNE | Antivirus, la chronique d'Abdoulaye Der | COVID-19 | KEEMTAAN GI | Echos des Locales 2022