Menu



“Remerciements et Appel à l’Engagement pour un Avenir Républicain” Serigne Bassirou Mbacké Abdou Khadr Mbacké: "Il est impossible d’implanter une école publique française dans le périmètre du titre foncier de Touba" Asphixie de la presse: la CAP tire la sonnette d'alarme Qui veut tuer la presse sénégalaise? Limogeage de Cheikh Dieng : la version du délégué du personnel de l'ONAS 𝑹𝒆𝒕𝒐𝒖𝒓 𝒔𝒖𝒓 𝒎𝒂 𝒗𝒊𝒔𝒊𝒕𝒆 𝒄𝒉𝒆𝒛 𝒍'𝒂𝒓𝒄𝒉𝒆𝒗𝒆̂𝒒𝒖𝒆 𝒅𝒆 𝑫𝒂𝒌𝒂𝒓, 𝑴𝒐𝒏𝒔𝒆𝒊𝒈𝒏𝒆𝒖𝒓 𝑩𝒆𝒏𝒋𝒂𝒎𝒊𝒏 𝑵𝑫𝑰𝑨𝒀𝑬 𝒔𝒖𝒓 𝒊𝒏𝒔𝒕𝒓𝒖𝒄𝒕𝒊𝒐𝒏 𝒅𝒖 𝑷𝒓𝒆𝒎𝒊𝒆𝒓 𝑴𝒊𝒏𝒊𝒔𝒕𝒓𝒆 𝑶𝒖𝒔𝒎𝒂𝒏𝒆 𝑺𝒐𝒏𝒌𝒐. Dr Aminata Sarr, directrice de la Télédiffusion du Sénégal (Tds-Sa), relève la vétusté des infrastructures et les besoins financiers nécessaires à leur renouvellement La Ligue des Imams défend Sonko: "Le Premier ministre est soucieux de notre vivre-ensemble suivant nos propres modèles et références" Monseigneur André Guèye, évêque de Thies sur le voile à l'école: "nous voulons plus de respect et de justice, nous revendiquons la liberté de mener nos activités"  Voile à l'école: Le Conseil national du Laïcat indigné par les "declarations maladroites" de Sonko

L'essentiel


google.com, pub-1148023042834496, DIRECT, f08c47fec0942fa0


Cheikh Ahmed Tidiane Ba, DG des Impôts et domaines : un parcours et des réformes

PORTRAIT
Jeudi 26 Octobre 2017

Nommé à la tête de la Direction générale des Impôts et Domaines (DGID), en novembre 2014, Cheikh Ahmed Tidiane Ba est un pur produit de la maison. Il conduit, au pas de charge, les réformes fiscales initiées par l’Etat.


Cheikh Ahmed Tidiane Ba, DG des Impôts et domaines : un parcours et des réformes
1200 milliards de francs CFA d’impôts collectés en 2016, des prévisions tablant sur 2182 milliards pour 2017, les chiffres disent le travail effectué par les équipes de la DGID grâce aux réformes entreprises dans une stratégie d’élargissement de l’assiette fiscale. M. Ba est à la manœuvre pour relever l’un des défis majeur de l’économie sénégalaise : limiter les apports extérieurs dans le budget national.

Né, au début des années soixante, dans le vieux quartier dakarois de la Médina, le jeune Cheikh Ba se passionne très vite pour les études. C’est un élève plus travailleur que la moyenne de ses camarades. Du fait de ses bons résultats, l’école primaire Médina V où il a obtenu son certificat de fin d’études élémentaires, en 1977, l’envoie au très sélectif concours d’entrée au Prytanée militaire de Saint-Louis. Il réussit les tests et y poursuit son cycle secondaire jusqu’à l’obtention d’un baccalauréat en série scientifique tout en se distinguant en sciences humaines comme lauréat du premier prix de philosophie au Concours général de l’année 1984. Dés lors se pose la question de l’orientation relative aux études supérieures. Les filières dites littéraires : Droit et Sciences humaines face aux filières scientifiques : Economie et Gestion. Le jeune Ba choisit cette dernière option. Il s’inscrit à la Faculté des Sciences économiques et de Gestion de l’UCAD et obtient une maitrise en gestion. Un autre choix à opérer : aller dans le privé ou intégrer l’administration ? Il opte pour le secteur public en réussissant au concours d’entrée à l’Ecole nationale d’Administration d’où il sort inspecteur des impôts.
A la Direction des Impôts et Domaines, il gravit les échelons jusqu’à devenir tour à tour : Chef du Centre des Grandes Entreprises en 2009, Directeur du Recouvrement en 2011, Directeur des Services fiscaux spécialisés en 2012 et enfin Directeur général en 2014 ; le couronnement d’une carrière de prés de vingt-cinq ans dans cette grande maison de l’Administration publique.

Parallèlement à son parcours de haut fonctionnaire, ce féru de ballon rond a été membre du Comité directeur de la Fédération sénégalaise de football. Son style de management en tant que Directeur général consiste à prôner, comme il le mentionnait lors de sa prise de fonction : la prise en charge de toutes les compétences, un audit des pratiques et procédures d’une administration qui se veut moderne avec l’informatisation de la chaîne fiscale, l’amélioration de la qualité du service aux usagers, un engagement à maintenir une dynamique de réformes.

Malgré cette dynamique, l’administration fiscale n’est pas à l’abri de critiques venant d’hommes politiques ou d’économistes notamment sur le sujet controversé des exonérations fiscales. Lors d’un atelier réunissant la DGID et le collectif des journalistes spécialisés en économie, en juillet dernier, Cheikh Ahmed Tidiane Ba réagissait, à ce propos, en ces termes : « Quand on lit la presse, on pense que c’est  sens dessus-dessous à la  DGID, mais il n’y a pas de problème, on travaille dans la sérénité et la tranquillité (…) Les autorités décident d’une politique fiscale qu’on applique (…) mais à plus de 95%, les autorités tiennent compte de l’avis de la DGID».

Intelligenceinfos

Nouveau commentaire :

POLITIQUE | ECONOMIE | SOCIETE | CULTURE | SPORT | INTERNATIONAL | PEOPLE | TV & RADIO | TRIBUNE LIBRE | CONFIDENTIEL | COUP DE COEUR | COUP DE GUEULE | PORTRAIT | LETTRE DU JOUR | VU SUR FACEBOOK | FAITS DIVERS | INSOLITE | ILS ONT OSE LE DIRE | MEDIAS | EDITORIAL | COMMUNIQUE | NECROLOGIE | PUBLIREPORTAGE | NTIC | SANTE | JUSTICE | DIPLOMATIE | DIPLOMATIE | GUEST EDITORIALISTE | ENVIRONNEMENT | INSTITUTIONS | RELIGION | EDUCATION | AGRICULTURE | PAROLE DE CAMPAGNE | Antivirus, la chronique d'Abdoulaye Der | COVID-19 | KEEMTAAN GI | Echos des Locales 2022