À défaut d’obtenir la liberté provisoire demandée, Sitor Ndour peut se réjouir de ne pas voir s’allonger davantage sa détention préventive pour les accusations de viol qui lui valent un placement sous mandat de dépôt. En effet, renseigne Les Échos, l’ancien directeur général du COUD sera jugé le 1er mars devant la chambre criminelle. «Le parquet chargé de l’enrôlement a programmé l’audience», informe le journal.
Sitor Ndour est accusé de viol par A. Thiaw, 17 ans, qui fut sa femme de ménage. Les faits présumés remonteraient au lendemain de la Tabaski et se seraient déroulés au domicile du mis en cause. Le désormais ex-président du Conseil d’administration de la SAED a toujours rejeté les accusations.
Ouverte en août dernier, l’instruction a été bouclée il y a un mois.