
Dans un communiqué, ce regroupement hétéroclite affirme que « la fin de non-recevoir opposée par l’administration électorale à une ordonnance exécutoire est la forme paroxystique du règne de la voie de fait et du non-droit érigé en modes de gouvernance par Monsieur Macky Sall, ses ministres et ses fonctionnaires supplétifs ».
« La non-réinscription sur les listes électorales et la non-délivrance de fiches de parrainage au candidat M. Ousmane SONKO est, selon le F24, sont l’expression d’une volonté dictatoriale d’éliminer une fois de plus un candidat à la présidentielle comme ce fut déjà le cas en 2019 », indique le F24.
Aux yeux des animateurs de ce mouvement, « il ne revient pas à la DGE de porter atteinte aux droits fondamentaux d’un candidat ». Selon eux, cette posture contribue « à engendrer une insécurité judiciaire et de creuser le manque de confiance des acteurs impliqués dans ce processus électoral ».