Le collectif des syndicats d’enseignants de l’Université Assane Seck de Ziguinchor (UASZ) et les associations d’étudiants ont minimisé et critiqué ce jeudi, lors d’une conférence de presse organisée sur le camp pédagogique, le budget de 3,3 milliards de FCFA retenu par le ministère des finances pour leur institution, promettant de « se battre par les moyens légaux pour le faire augmenter ».
Après la conférence de presse, ils ont improvisé une marche à travers les allées du campus pédagogique pour, soutenait-ils « sensibiliser les étudiants et les autorités ».
En effet, si l’on en croit leur porte-parole du jour Oumar Sall par ailleurs secrétaire général de la coordination du Syndicat Autonome de l’Enseignement Supérieur (SAES) de l’UASZ, ils avaient déjà alerté les autorités ministérielles pour leur expliquer que les 3,3 milliards de FCFA ne pouvaient « permettre que le fonctionnement à 25% » de l’université de Ziguinchor.
C’est d’ailleurs l’une des raisons pour lesquelles le Conseil d’Administration de leur institution avait décidé de voter un budget supérieur à l’existant.
Mais à leur grande surprise, a informé Oumar Sall, « nous avons appris que le ministère des finances a rejeté la proposition du budget votée par le Conseil d’Administration de notre université alors que nous endurons encore des difficultés qui ont pour noms : le désamour de l’Université de la part des étudiants, des professeurs qui sont généralement débauchés, la couverture sanitaire défaillante, le coup d’arrêt dans les activités de recherche des enseignants, etc ».
Afanbacary TOMA, Ziguinchor
Après la conférence de presse, ils ont improvisé une marche à travers les allées du campus pédagogique pour, soutenait-ils « sensibiliser les étudiants et les autorités ».
En effet, si l’on en croit leur porte-parole du jour Oumar Sall par ailleurs secrétaire général de la coordination du Syndicat Autonome de l’Enseignement Supérieur (SAES) de l’UASZ, ils avaient déjà alerté les autorités ministérielles pour leur expliquer que les 3,3 milliards de FCFA ne pouvaient « permettre que le fonctionnement à 25% » de l’université de Ziguinchor.
C’est d’ailleurs l’une des raisons pour lesquelles le Conseil d’Administration de leur institution avait décidé de voter un budget supérieur à l’existant.
Mais à leur grande surprise, a informé Oumar Sall, « nous avons appris que le ministère des finances a rejeté la proposition du budget votée par le Conseil d’Administration de notre université alors que nous endurons encore des difficultés qui ont pour noms : le désamour de l’Université de la part des étudiants, des professeurs qui sont généralement débauchés, la couverture sanitaire défaillante, le coup d’arrêt dans les activités de recherche des enseignants, etc ».
Afanbacary TOMA, Ziguinchor
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