« Il a parlé de crâne rasé. Cela m’a donné des frissons parce que, malheureusement, j’en ai un et j’ai décidé maintenant de garder ma chevelure. Je n’ai plus envie d’avoir de crâne rasé. Je peux vous garantir que certains, qui sont en train de parler de crâne rasé, ont violé la loi, en l’occurrence l’article 122 du code pénal », a déclaré déclaré, hier, lors d’un entretien à la presse à sa sortie du Tribunal.
« Ces crânes rasés, demain, ils raseront les murs. A défaut de raser les murs, ils seront rasés eux-mêmes », a-t-il- encore ajouté. En commentant toujours les propos du Procureur de la République, Barthélémy Dias déclare qu’en « en parlant de de lit long et de lit court, pour ne pas malheureusement lui donner assez d’importance, s’il avait vécu à cette époque, il ne coucherait ni sur les lits courts ni sur les lits longs, mais on lui chercherait un berceau ».