« Le souhait du principal concerné est d’orienter la procédure sur ma personne, en laissant de côté les faits objet de la véritable procédure dont vous vous êtes saisi », a-t-il déclaré.
Il estime que les accusations de complot ne sont que diversion : « Je ne suis ni de près ni de loin mêlé à un complot. Je ne connais pas le salon Sweet Beauty et je n’y ai jamais mis les pieds. »
Avant de poursuivre : « Je n’ai pas non plus montré ce salon au mis en cause et je ne l’y ai pas conduit. Je ne l’ai pas non plus mis en présence avec les dames impliquées dans cette affaire. Si j’ai eu à intervenir d’une quelconque manière dans cette affaire, c’est bien après les faits pour porter secours à une jeune fille en détresse ».