Le 21 février, considérant sa requête irrecevable, la chambre d’accusation avait débouté le président de Pastef. Les avocats de ce dernier avaient six jours pour saisir la Cour suprême. Ils ont respecté les délais, d’après Source A.
S’ils obtiennent gain de cause, leur client peut espérer éviter de répondre devant la chambre criminelle. Dans le cas contraire, Sonko devra affronter son accusatrice lors d’un procès.