«C’est clair que s’il y a 1000 personnes qu’ils veulent être reçues le même jour, ce n’est possible, on ne peut pas l’organiser mais restreindre à dix ou à moins d’une centaine par semaine le nombre de personnes qui veulent lui rendre visite, est inacceptable», relève le défenseur des droits de l’homme.
En ce sens, soutient-il : «Il faut que l’administration pénitentiaire qui est un service de l’Etat ne s’engage pas dans ce genre de polémiques. Le Colonel Daouda Diop, il est là pour l’Etat, il ne faut pas que les politiciens le manipulent et l’amènent à prendre des mesures qui n’honorent pas l’Etat et ce corps respectable ici au Sénégal qu’est l’administration pénitentiaire…».
Placé sous mandat de dépôt le 7 mars dernier dans le cadre de l'affaire de la caisse d'avance de la mairie de Dakar, Khalifa Sall a renoncé à ses droits de visites, depuis lundi 15 mai.