Deux sage-femmes parmi les six de l’hôpital Amadou Sakhir Mbaye avaient bénéficié d’une liberté provisoire dès le début de l’enquête.
Pour mémoire, placées sous mandat de dépôt depuis le 19 avril dernier, les quatre sage-femmes étaient poursuivies pour non-assistance à une personne en danger suite au décès en couches de Astou Sokhna.