Au-delà de cet acte inadmissible, l’ACT rappelle à ce dernier que le droit d’informer et de s’informer, reconnu par notre Constitution et tous autres Traités internationaux dont le Sénégal est signataire, ne saurait être remis en cause par le seul souci de défendre des intérêts familiaux mis en cause dans ce qu’il convient d’appeler «l’affaire Sall-Timis».
L’ACT appelle tous les organes de presse et tous les journalistes à refuser la censure et à opter pour l’équilibre et la déontologie dans la diffusion des informations relatives, de près ou de loin, à l’affaire précédemment citée.»