« En demandant la réintégration des candidats déjà éliminés dans un dialogue auquel 17 des 19 candidats déjà retenus, et proposé la date du 2 juin pour la tenue de la présidentielle, les conclusions du dialogue national contreviennent à la décision du Conseil constitutionnel », ont estimé, dans une déclaration, les membres du CUD.
Selon le collectif qui regroupe 300 universitaires, les concertations auraient dû être menées avec les services du ministère de l’Intérieur, notamment la Direction générale des élections, la Commission électorale nationale autonome (CENA) et les 19 candidats retenus par le Conseil constitutionnel.