Tout de suite après le discours du Président de la République lors de la cérémonie de prestation serment, les leaders de l’opposition ont réagi. Et Amsatou Sow Sidibé, candidate recalée par le Conseil constitutionnel a jugé que, dans son speech, «le Président de la République n’a pas mis le doigt là où il fallait».
«Avant de parler d’environnement, de logement, d’éducation, de Santé, il faut asseoir une Nation. C’est une condition sine qua non d’arriver au développement ou à l’émergence», déclare la présidente de Carlenen, qui annonce à la Rfm n’avoir pas reçu de carton d’invitation à la cérémonie qui s’est tenue à la salle des Expositions de Diamniadio.
Pour Amsatou Sow Sidibé, «il faut que le Président Macky Sall s’évertue à consolider la Nation sénégalaise», comme l’ont fait ses prédécesseurs. Car, il ne faut pas qu’il oublie que malgré les 42% des Sénégalais qui n’ont pas voté pour lui, il est le Président de tout le peuple. Et doit éviter «un éclatement de la Nation en ethnie, en régionalisme».
Et «le Président doit être soutenu dans cette action par un organe institutionnel extrêmement important tel que le Conseil constitutionnel. Le Conseil institutionnel ne nous a, même pas, cités. Pourtant, nous faisons partie intégrante de la démocratie sénégalaise. Sans nous (Ndlr : l’opposition), il ne peut pas y avoir de Nation harmonieuse», peste-t-elle.
«Avant de parler d’environnement, de logement, d’éducation, de Santé, il faut asseoir une Nation. C’est une condition sine qua non d’arriver au développement ou à l’émergence», déclare la présidente de Carlenen, qui annonce à la Rfm n’avoir pas reçu de carton d’invitation à la cérémonie qui s’est tenue à la salle des Expositions de Diamniadio.
Pour Amsatou Sow Sidibé, «il faut que le Président Macky Sall s’évertue à consolider la Nation sénégalaise», comme l’ont fait ses prédécesseurs. Car, il ne faut pas qu’il oublie que malgré les 42% des Sénégalais qui n’ont pas voté pour lui, il est le Président de tout le peuple. Et doit éviter «un éclatement de la Nation en ethnie, en régionalisme».
Et «le Président doit être soutenu dans cette action par un organe institutionnel extrêmement important tel que le Conseil constitutionnel. Le Conseil institutionnel ne nous a, même pas, cités. Pourtant, nous faisons partie intégrante de la démocratie sénégalaise. Sans nous (Ndlr : l’opposition), il ne peut pas y avoir de Nation harmonieuse», peste-t-elle.
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