Menu



“Remerciements et Appel à l’Engagement pour un Avenir Républicain” Serigne Bassirou Mbacké Abdou Khadr Mbacké: "Il est impossible d’implanter une école publique française dans le périmètre du titre foncier de Touba" Asphixie de la presse: la CAP tire la sonnette d'alarme Qui veut tuer la presse sénégalaise? Limogeage de Cheikh Dieng : la version du délégué du personnel de l'ONAS 𝑹𝒆𝒕𝒐𝒖𝒓 𝒔𝒖𝒓 𝒎𝒂 𝒗𝒊𝒔𝒊𝒕𝒆 𝒄𝒉𝒆𝒛 𝒍'𝒂𝒓𝒄𝒉𝒆𝒗𝒆̂𝒒𝒖𝒆 𝒅𝒆 𝑫𝒂𝒌𝒂𝒓, 𝑴𝒐𝒏𝒔𝒆𝒊𝒈𝒏𝒆𝒖𝒓 𝑩𝒆𝒏𝒋𝒂𝒎𝒊𝒏 𝑵𝑫𝑰𝑨𝒀𝑬 𝒔𝒖𝒓 𝒊𝒏𝒔𝒕𝒓𝒖𝒄𝒕𝒊𝒐𝒏 𝒅𝒖 𝑷𝒓𝒆𝒎𝒊𝒆𝒓 𝑴𝒊𝒏𝒊𝒔𝒕𝒓𝒆 𝑶𝒖𝒔𝒎𝒂𝒏𝒆 𝑺𝒐𝒏𝒌𝒐. Dr Aminata Sarr, directrice de la Télédiffusion du Sénégal (Tds-Sa), relève la vétusté des infrastructures et les besoins financiers nécessaires à leur renouvellement La Ligue des Imams défend Sonko: "Le Premier ministre est soucieux de notre vivre-ensemble suivant nos propres modèles et références" Monseigneur André Guèye, évêque de Thies sur le voile à l'école: "nous voulons plus de respect et de justice, nous revendiquons la liberté de mener nos activités"  Voile à l'école: Le Conseil national du Laïcat indigné par les "declarations maladroites" de Sonko

L'essentiel


google.com, pub-1148023042834496, DIRECT, f08c47fec0942fa0


Zimbabwe : Robert Mugabe limoge son vice-président

INTERNATIONAL
Mardi 7 Novembre 2017

Alors qu'au Zimbabwe la guerre pour la succession de Robert Mugabe fait rage au sein du parti au pouvoir, le chef d'État a démis de ses fonctions, lundi, son vice-président Emmerson Mnangagwa, accusé de "déloyauté".


Le vice-président zimbabwéen Emmerson Mnangagwa, jusqu'alors considéré comme l'un des successeurs potentiels au président Robert Mugabe, a été limogé, a annoncé, lundi 6 novembre, le ministre de l'Information Simon Khaya Moyo.
 
"Il est devenu évident [que le] comportement" d'Emmerson Mnangagwa "dans l'exercice de ses fonctions est devenu incohérent avec ses responsabilités officielles", a affirmé le ministre de l'Information. "Le vice-président a systématiquement et constamment fait preuve de manque de loyauté, de manque de respect, de malhonnêteté et de manque de sérieux", a-t-il expliqué.

Guerre de succession
 
Surnommé "le crocodile", Emmerson Mnangagwa, 75 ans, essuyait depuis plusieurs semaines les vives critiques de proches du président, dont la première dame Grace Mugabé, qui lui ont reproché de prétendre avoir été victime en août d'une tentative d'empoisonnement. Ses partisans ont alors suggéré que cette tentative avait été ourdie par l’épouse du président, qui l'a très vigoureusement démenti.

Emmerson Mnangagwa avait déjà perdu, début octobre, son portefeuille de ministre de la Justice. Mais il avait alors été maintenu à la vice-présidence, dont il occupait un des deux postes depuis 2014. Son départ forcé intervient au moment où la guerre pour la succession du président, âgé de 93 ans, fait rage au sein du parti au pouvoir, la Zanu-PF, même si Robert Mugabe a déjà annoncé qu'il briguerait un nouveau mandat en 2018.

Grace Mugabe est considérée comme l'un des dauphins potentiels de son mari, au pouvoir depuis l'indépendance du Zimbabwe en 1980. Dimanche, elle avait annoncé qu'elle était prête à lui succéder.
 
Avec AFP
 

Nouveau commentaire :

POLITIQUE | ECONOMIE | SOCIETE | CULTURE | SPORT | INTERNATIONAL | PEOPLE | TV & RADIO | TRIBUNE LIBRE | CONFIDENTIEL | COUP DE COEUR | COUP DE GUEULE | PORTRAIT | LETTRE DU JOUR | VU SUR FACEBOOK | FAITS DIVERS | INSOLITE | ILS ONT OSE LE DIRE | MEDIAS | EDITORIAL | COMMUNIQUE | NECROLOGIE | PUBLIREPORTAGE | NTIC | SANTE | JUSTICE | DIPLOMATIE | DIPLOMATIE | GUEST EDITORIALISTE | ENVIRONNEMENT | INSTITUTIONS | RELIGION | EDUCATION | AGRICULTURE | PAROLE DE CAMPAGNE | Antivirus, la chronique d'Abdoulaye Der | COVID-19 | KEEMTAAN GI | Echos des Locales 2022