Menu



“Remerciements et Appel à l’Engagement pour un Avenir Républicain” Serigne Bassirou Mbacké Abdou Khadr Mbacké: "Il est impossible d’implanter une école publique française dans le périmètre du titre foncier de Touba" Asphixie de la presse: la CAP tire la sonnette d'alarme Qui veut tuer la presse sénégalaise? Limogeage de Cheikh Dieng : la version du délégué du personnel de l'ONAS 𝑹𝒆𝒕𝒐𝒖𝒓 𝒔𝒖𝒓 𝒎𝒂 𝒗𝒊𝒔𝒊𝒕𝒆 𝒄𝒉𝒆𝒛 𝒍'𝒂𝒓𝒄𝒉𝒆𝒗𝒆̂𝒒𝒖𝒆 𝒅𝒆 𝑫𝒂𝒌𝒂𝒓, 𝑴𝒐𝒏𝒔𝒆𝒊𝒈𝒏𝒆𝒖𝒓 𝑩𝒆𝒏𝒋𝒂𝒎𝒊𝒏 𝑵𝑫𝑰𝑨𝒀𝑬 𝒔𝒖𝒓 𝒊𝒏𝒔𝒕𝒓𝒖𝒄𝒕𝒊𝒐𝒏 𝒅𝒖 𝑷𝒓𝒆𝒎𝒊𝒆𝒓 𝑴𝒊𝒏𝒊𝒔𝒕𝒓𝒆 𝑶𝒖𝒔𝒎𝒂𝒏𝒆 𝑺𝒐𝒏𝒌𝒐. Dr Aminata Sarr, directrice de la Télédiffusion du Sénégal (Tds-Sa), relève la vétusté des infrastructures et les besoins financiers nécessaires à leur renouvellement La Ligue des Imams défend Sonko: "Le Premier ministre est soucieux de notre vivre-ensemble suivant nos propres modèles et références" Monseigneur André Guèye, évêque de Thies sur le voile à l'école: "nous voulons plus de respect et de justice, nous revendiquons la liberté de mener nos activités"  Voile à l'école: Le Conseil national du Laïcat indigné par les "declarations maladroites" de Sonko

L'essentiel


google.com, pub-1148023042834496, DIRECT, f08c47fec0942fa0


Zimbabwe : Mugabe fait sa première apparition publique depuis le coup de force militaire

INTERNATIONAL
Vendredi 17 Novembre 2017

Robert Mugabe, assigné à résidence par l'armée, a fait vendredi sa première apparition depuis le coup de force militaire. Son parti, la Zanu-PF, a annoncé qu'il pourrait engager une procédure de destitution s'il refusait de quitter le pouvoir.


 
Jusqu'alors assigné à résidence par l'armée, le président du Zimbabwe, Robert Mugabe, est apparu, en public vendredi 17 novembre, pour la première fois depuis la prise du pouvoir par les militaires dans la nuit du 14 au 15 novembre à Harare.
 
Le chef de l'État, qui est âgé de 93 ans, s'est rendu dans une université de la capitale pour inaugurer une cérémonie de remise de diplômes. Vêtu d'une robe universitaire jaune et bleue et coiffé d'une toque, le président zimbabwéen s'est assis dans un grand fauteuil en bois d'où il a proclamé, sous les "youyous" de la
foule, la cérémonie ouverte.
S'agit-il de la derinère apparition de Robert Mugabe en tant que chef d'État ? Le parti au pouvoir au, la Zanu-PF, a en tous cas fait savoir à Reuters qu’il se préparait à mettre à l'écart et qu’il engagera une procédure de destitution s'il refuse de démissionner.
La direction de la formation se réunit ce vendredi pour mettre au point une motion qui prévoit l'éviction du chef de l'État au cours du week-end. "On ne reviendra pas en arrière", a indiqué un haut responsable du parti à l'agence de presse.
 
L'armée du Zimbabwe s'est emparée du pouvoir dans la nuit du 14 au 15 novembre et négocie avec le vieux président pour une transmission en douceur du pouvoir à Emmerson Mnangagwa, ex-vice-président limogé le 6 novembre par Mugabe. Mais, pour l’heure, le chef de l’Etat refuse toujours de démissionner.
 
"Il y a encore énormément d'incertitudes au Zimbabwe", rapporte à France 24 la journaliste Patricia Huon. La voie de la négociation semble toujours privilégiée par les militaires qui ont pris le pouvoir. Mais ce qui est sûr, c'est que Robert Mugabe, au pouvoir depuis 37 ans, n'a pas dit son dernier mot et ne va leur faciliter la tâche."
 
  Avec France 24

Nouveau commentaire :

POLITIQUE | ECONOMIE | SOCIETE | CULTURE | SPORT | INTERNATIONAL | PEOPLE | TV & RADIO | TRIBUNE LIBRE | CONFIDENTIEL | COUP DE COEUR | COUP DE GUEULE | PORTRAIT | LETTRE DU JOUR | VU SUR FACEBOOK | FAITS DIVERS | INSOLITE | ILS ONT OSE LE DIRE | MEDIAS | EDITORIAL | COMMUNIQUE | NECROLOGIE | PUBLIREPORTAGE | NTIC | SANTE | JUSTICE | DIPLOMATIE | DIPLOMATIE | GUEST EDITORIALISTE | ENVIRONNEMENT | INSTITUTIONS | RELIGION | EDUCATION | AGRICULTURE | PAROLE DE CAMPAGNE | Antivirus, la chronique d'Abdoulaye Der | COVID-19 | KEEMTAAN GI | Echos des Locales 2022