Le journal Libération rappelle qu’une créance estimée à 1,7 milliard de francs Cfa due à la Banque islamique du Sénégal (BIS) est à l’origine de tous les maux. Une somme contractée pour financer l’acquisition de décodeurs et ses besoins en fond de roulement dans le cadre du passage de la télévision analogique au numérique à travers la télévision numérique terrestre (Tnt).
Le siège abritant la RDV sis à la Sodida, ainsi que trois autres immeubles de Excaf devaient être vendus aux enchères.