Tanor réagissait ainsi, ce dimanche à Mbour, lors du lancement de la campagne de parrainage dans le département. Soit deux jours après la révocation du désormais ex-édile de la capitale et trois jours après la confirmation, par la Cour d'appel, de sa condamnation en première instance dans l'affaire de la Caisse d'avance.
Tanor a martelé : «Nous avons de la solidarité envers lui. C'est humain, mais le reste c'est la loi. Et même si la loi est dure, elle reste la loi. Et elle a été mise en œuvre. J'ai cheminé avec Khalifa Sall, maintenant le reste ce n'est pas mon affaire.»
Dakarmatin