L'opposition parlementaire, au-delà de nos appartenances politiques, a toujours fait montre depuis le début de cette législature, d'une solidarité agissante contre les coups de forces de la majorité mécanique. Ce fut le cas lors de la tentative de liquidation de Khalifa Sall, des modifications de la Constitution et du code électoral ou la loi sur le parrainage.
Je lance également un appel aux militantes - militants, sympathisantes - sympathisants de PASTEF, à s'abstenir de toutes conjectures, commentaires ou jugements portant sur la situation politique actuelle et singulièrement les retrouvailles des uns et des autres.
En plus de perdre énormément de temps à parler de questions dont on ignore encore les tenants et aboutissants, de telles attitudes sont anti-démocratiques en ce qu'elles dénient à chaque citoyen ou groupe de citoyens la liberté et le droit de s'associer selon ses convenances.
À Pastef, le principe est de reconnaître ce droit à tout un chacun tant que ça ne va pas dans le sens contraire à l'intérêt national dont la défense est le crédo fondateur de notre engagement et de notre action politique.
Restons concentrés sur nos objectifs !