Menu



Ziarra annuelle de Fès : Thierno Malick Ba renforce la diplomatie religieuse “Remerciements et Appel à l’Engagement pour un Avenir Républicain” Serigne Bassirou Mbacké Abdou Khadr Mbacké: "Il est impossible d’implanter une école publique française dans le périmètre du titre foncier de Touba" Asphixie de la presse: la CAP tire la sonnette d'alarme Qui veut tuer la presse sénégalaise? Limogeage de Cheikh Dieng : la version du délégué du personnel de l'ONAS 𝑹𝒆𝒕𝒐𝒖𝒓 𝒔𝒖𝒓 𝒎𝒂 𝒗𝒊𝒔𝒊𝒕𝒆 𝒄𝒉𝒆𝒛 𝒍'𝒂𝒓𝒄𝒉𝒆𝒗𝒆̂𝒒𝒖𝒆 𝒅𝒆 𝑫𝒂𝒌𝒂𝒓, 𝑴𝒐𝒏𝒔𝒆𝒊𝒈𝒏𝒆𝒖𝒓 𝑩𝒆𝒏𝒋𝒂𝒎𝒊𝒏 𝑵𝑫𝑰𝑨𝒀𝑬 𝒔𝒖𝒓 𝒊𝒏𝒔𝒕𝒓𝒖𝒄𝒕𝒊𝒐𝒏 𝒅𝒖 𝑷𝒓𝒆𝒎𝒊𝒆𝒓 𝑴𝒊𝒏𝒊𝒔𝒕𝒓𝒆 𝑶𝒖𝒔𝒎𝒂𝒏𝒆 𝑺𝒐𝒏𝒌𝒐. Dr Aminata Sarr, directrice de la Télédiffusion du Sénégal (Tds-Sa), relève la vétusté des infrastructures et les besoins financiers nécessaires à leur renouvellement La Ligue des Imams défend Sonko: "Le Premier ministre est soucieux de notre vivre-ensemble suivant nos propres modèles et références" Monseigneur André Guèye, évêque de Thies sur le voile à l'école: "nous voulons plus de respect et de justice, nous revendiquons la liberté de mener nos activités" 

L'essentiel


google.com, pub-1148023042834496, DIRECT, f08c47fec0942fa0


Seydou Guèye justifie la lenteur dans la formation du gouvernement : « Rien n’est illégal dans la démarche »

POLITIQUE
Mercredi 6 Septembre 2017

« Rien n’est illégal dans la démarche adoptée jusqu’ici et personne parmi les analystes n’a évoqué un quelconque texte juridique si ce n’est évoquer la tradition républicaine, même s’il est vrai que c’est cette coutume républicaine qui explique la démission du gouvernement au lendemain des législatives. Idem, pour les journalistes qui, dans leur mission de relais et d’amplification de l’information, peuvent se permettre de spéculer car cela cadre parfaitement avec la fonction spéculative de l’information. Et ce bouillonnement politico-médiatique est une très bonne chose et reflète la vitalité de notre démocratie. Aussi, quoiqu’importante que puisse être la coutume, le Sénégal n’est, cependant, pas régi par le « common law ».

C’est un État de droit régi par des textes de lois. La présente situation peut donner l’impression d’un vide pour les non initiés mais il ne peut y avoir de vide institutionnel en ce sens que la démission du gouvernement n’exclut en rien l’évacuation des affaires courantes jusqu’à la mise en place du nouveau gouvernement, comme c’est le cas dans tout État organisé. Autrement dit, si une situation se présente, le ministre est là pour expédier les affaires courantes. Cela dit, l’information est la démission du Premier ministre et de son gouvernement. Et il revient au Chef de l’État qui, en tant que clef de voûte des institutions de la République et seul maître du jeu, de le reconduire et ou de nommer un nouveau.

Aussi, n’étant pas dans le secret des dieux, je ne peux sonder les intentions du président de la République et/ou être plus royaliste que le roi. Pour vous dire que je ne peux fonder mon analyse à partir de spéculations mais bien à partir des actes qu’il posera, parce que seul détenteur du pouvoir constitutionnel de nommer à tous les emplois civils et militaires. D’ailleurs, nommer un Premier ministre peut ne pas requérir toute cette publicité, un décret du président de la République l’officialise ». Mamadou Lamine DIEYE

Nouveau commentaire :

POLITIQUE | ECONOMIE | SOCIETE | CULTURE | SPORT | INTERNATIONAL | PEOPLE | TV & RADIO | TRIBUNE LIBRE | CONFIDENTIEL | COUP DE COEUR | COUP DE GUEULE | PORTRAIT | LETTRE DU JOUR | VU SUR FACEBOOK | FAITS DIVERS | INSOLITE | ILS ONT OSE LE DIRE | MEDIAS | EDITORIAL | COMMUNIQUE | NECROLOGIE | PUBLIREPORTAGE | NTIC | SANTE | JUSTICE | DIPLOMATIE | DIPLOMATIE | GUEST EDITORIALISTE | ENVIRONNEMENT | INSTITUTIONS | RELIGION | EDUCATION | AGRICULTURE | PAROLE DE CAMPAGNE | Antivirus, la chronique d'Abdoulaye Der | COVID-19 | KEEMTAAN GI | Echos des Locales 2022