Revenant sur les conditions de la libération de Wade-fils, Me Seydou Diagne rappelle que ''c'est l'administration pénitentiaire et le gouvernement Sénégalais qui l'ont encadré et mis dans un avion'', avant de marteler que son client ''est, certes libre, mais en exil au Qatar.'' Interpellé sur cette épée de Damoclès qui pend sur la tête de Karim, il se voudra clair : ''cette contrainte par corps n'a absolument aucune valeur juridique pour nous.''
L'avocat sera aussi invité à parler de l'affaire Khalifa Sall. Occasion qu'il saisira pour déclarer que l'ancien maire de Dakar ''ne demande ni grâce ni armistice, il demande que justice lui soit rendue.''