Selon le leader de Bes Du Niakk, l’actuel président de la République n’a pas su poser les réformes propres à effacer son prédécesseur de l’imaginaire collectif des Sénégalais. « Macky Sall n’a rien fait pour qu’on oublie Abdoulaye Wade.
Si l’ancien président de la République draine des foules à 91 ans, c’est le plus grand échec imputable à Macky Sall. L’immortalité d’Abdoulaye Wade va se construire sur le dos de Macky Sall », a-t-il soutenu.
Le marabout a aussi déploré les bombes lacrymogènes que les forces de l’ordre ont balancées ce matin quand leur cortège passait à hauteur de la Place de l’Indépendance. Serigne Mansour Sy Djamil, qui était avec Jean Paul Dias et Malick Gakou, précise que la Place de l’Indépendance n’était pas leur destination car ils devaient aller au marché Sandaga pour échanger avec les commerçants sur une probable dévaluation du F Cfa. « Aucune loi ne nous interdit d’être présents à la place de l’Indépendance en temps de campagne électorale. Ils nous ont énormément gazés.
Nous ne pouvions passer que par la Place l’Indépendance pour rejoindre les commerçants de Sandaga », déclairé l’ancien membre de la Fédération des étudiants d’Afrique noire française (FEANF). A quelque chose, malheur est bon, l’ex-banquier se réjouit : « Du point de vue de la communication, ils nous ont accordé un buzz auquel nous ne nous attendions pas. Notre message est passé grâce aux grenades ».
Si l’ancien président de la République draine des foules à 91 ans, c’est le plus grand échec imputable à Macky Sall. L’immortalité d’Abdoulaye Wade va se construire sur le dos de Macky Sall », a-t-il soutenu.
Le marabout a aussi déploré les bombes lacrymogènes que les forces de l’ordre ont balancées ce matin quand leur cortège passait à hauteur de la Place de l’Indépendance. Serigne Mansour Sy Djamil, qui était avec Jean Paul Dias et Malick Gakou, précise que la Place de l’Indépendance n’était pas leur destination car ils devaient aller au marché Sandaga pour échanger avec les commerçants sur une probable dévaluation du F Cfa. « Aucune loi ne nous interdit d’être présents à la place de l’Indépendance en temps de campagne électorale. Ils nous ont énormément gazés.
Nous ne pouvions passer que par la Place l’Indépendance pour rejoindre les commerçants de Sandaga », déclairé l’ancien membre de la Fédération des étudiants d’Afrique noire française (FEANF). A quelque chose, malheur est bon, l’ex-banquier se réjouit : « Du point de vue de la communication, ils nous ont accordé un buzz auquel nous ne nous attendions pas. Notre message est passé grâce aux grenades ».
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