Interpellé sur la mort des 25 individus hier, lundi, dans un accident tragique à hauteur d’une localité située dans la Commune de Sagatta, département de Kébémer, le patron de la Ligue sénégalaise des droits humains (Lsdh), avoue qu’avec «la nouvelle réforme pénale intervenue, le Législateur s’est adapté à ce fléau»
A l’en croire, «il faut rappeler que les accidents constituent la première cause de mortalité non naturelle au Sénégal. Aujourd’hui, le fait de mettre en danger la vie d’une personne ou de l’exposer à un risque immédiat de mort ou de blessures par violation, est sévèrement puni au Sénégal. Et, la peine peut aller jusqu’à trois (03) ans d’emprisonnement», soutient-il.
Avec Actusen