En tant que garant de la sécurité publique, le ministre de l’intérieur Antoine Félix Diome est revenu sur la problématique de la recrudescence de la violence, non seulement pour regretter ces cas douloureux, mais pour avertir les malfaiteurs qui hantent le sommeil des Sénégalais. C’était à l’occasion de sa visite au niveau de l’ancienne piste où un incendie s’est déclaré, hier, dans la nuit emportant une vie.
Face à cette situation, le ministre de l’intérieur et de la sécurité publique se veut clair : « Je le dis ici, de façon très ferme, aucun répit ne sera laissé aux malfaiteurs. Il faut que ces gens comprennent que les braves populations qui vivent à la sueur de leur front, auront l’assistance, le soutien et toute la protection de l’État. Je me veux vraiment clair sur ce sujet », a-t-il déclaré.
Avant de poursuivre : « C’est l’occasion pour moi d’annoncer qu’au-delà du numéro de la gendarmerie qu’est le 800 00 2020 les citoyens sénégalais auront désormais à disposition un nouveau numéro plus facile à retenir qu’est le 123. J’invite toutes les populations de Dakar et des autres régions du pays, à chaque fois qu’elles voient quelque chose qui nécessite d’appeler des secours ou que les forces de défense et de sécurité soient présentes, qu’elles le fassent immédiatement. Avec la police nous avons le 17 qui est fonctionnel. Et enfin avec les pompiers il y a le 18. »
Face à cette situation, le ministre de l’intérieur et de la sécurité publique se veut clair : « Je le dis ici, de façon très ferme, aucun répit ne sera laissé aux malfaiteurs. Il faut que ces gens comprennent que les braves populations qui vivent à la sueur de leur front, auront l’assistance, le soutien et toute la protection de l’État. Je me veux vraiment clair sur ce sujet », a-t-il déclaré.
Avant de poursuivre : « C’est l’occasion pour moi d’annoncer qu’au-delà du numéro de la gendarmerie qu’est le 800 00 2020 les citoyens sénégalais auront désormais à disposition un nouveau numéro plus facile à retenir qu’est le 123. J’invite toutes les populations de Dakar et des autres régions du pays, à chaque fois qu’elles voient quelque chose qui nécessite d’appeler des secours ou que les forces de défense et de sécurité soient présentes, qu’elles le fassent immédiatement. Avec la police nous avons le 17 qui est fonctionnel. Et enfin avec les pompiers il y a le 18. »
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