Menu



Ziarra annuelle de Fès : Thierno Malick Ba renforce la diplomatie religieuse “Remerciements et Appel à l’Engagement pour un Avenir Républicain” Serigne Bassirou Mbacké Abdou Khadr Mbacké: "Il est impossible d’implanter une école publique française dans le périmètre du titre foncier de Touba" Asphixie de la presse: la CAP tire la sonnette d'alarme Qui veut tuer la presse sénégalaise? Limogeage de Cheikh Dieng : la version du délégué du personnel de l'ONAS 𝑹𝒆𝒕𝒐𝒖𝒓 𝒔𝒖𝒓 𝒎𝒂 𝒗𝒊𝒔𝒊𝒕𝒆 𝒄𝒉𝒆𝒛 𝒍'𝒂𝒓𝒄𝒉𝒆𝒗𝒆̂𝒒𝒖𝒆 𝒅𝒆 𝑫𝒂𝒌𝒂𝒓, 𝑴𝒐𝒏𝒔𝒆𝒊𝒈𝒏𝒆𝒖𝒓 𝑩𝒆𝒏𝒋𝒂𝒎𝒊𝒏 𝑵𝑫𝑰𝑨𝒀𝑬 𝒔𝒖𝒓 𝒊𝒏𝒔𝒕𝒓𝒖𝒄𝒕𝒊𝒐𝒏 𝒅𝒖 𝑷𝒓𝒆𝒎𝒊𝒆𝒓 𝑴𝒊𝒏𝒊𝒔𝒕𝒓𝒆 𝑶𝒖𝒔𝒎𝒂𝒏𝒆 𝑺𝒐𝒏𝒌𝒐. Dr Aminata Sarr, directrice de la Télédiffusion du Sénégal (Tds-Sa), relève la vétusté des infrastructures et les besoins financiers nécessaires à leur renouvellement La Ligue des Imams défend Sonko: "Le Premier ministre est soucieux de notre vivre-ensemble suivant nos propres modèles et références" Monseigneur André Guèye, évêque de Thies sur le voile à l'école: "nous voulons plus de respect et de justice, nous revendiquons la liberté de mener nos activités" 

L'essentiel


google.com, pub-1148023042834496, DIRECT, f08c47fec0942fa0


Pléthore de liste: Penda Mbow assène ses vérités

POLITIQUE
Mardi 4 Juillet 2017

Le professeur Penda Mbow s’est insurgé contre les 47 listes qui sont en lice pour les élections législatives du 30 juillet prochain.

«47 listes pour un pays comme le Sénégal, c’est carrément une aberration. Notre démocratie est profondément en crise. Ce qu’on voit avec la situation des listes électorale n’est pas une vitalité de la démocratie. Au contraire, je pense que cela reflète l’absence de réflexion, pas sur le plan idéologique, mais pour proposer des éléments de sortie de crise», a-t-elle affirmé.


L’historienne est d’avis que ce pléthorique nombre de liste est lié au fait qu’on a une crise de leadership où chacun veut être visible et se prévaloir d’une certaine représentativité. Dans la logique de professeure Mbow, il faudra étudier comment réduire le nombre de parti politique au Sénégal.

«Il faudra appliquer la loi. Parce que  quand un parti politique existe et qu’il n’organise pas de congrès, ne participe pas à des élections ou alors s’il y participe, il se trouve avec des pourcentages insignifiants voire inexistants, ce parti politique n’a pas sa raison d’être. Nous devons être beaucoup plus sérieux quant à l’avenir de notre Sénégal et les propositions que nous allons faire au peuple sénégalais. Ce n’est pas un jeu d’enfant, la politique c’est du sérieux», dira-t-elle.   
 
Par ailleurs, Penda Mbow estime qu’il y a une similitude notoire dans les propositions que formulent les formations politiques et coalitions.

«Qu’est-ce qui différencie les 47 listes ? Est-ce qu’il y a des propositions différentes les unes des autres ? Au contraire tout ce qu’on nous propose est axé sur des individus, des personnalités et non pas et non pas sur les intérêts véritable du peuple sénégalais», répète-t-elle.

En fin de compte, de l’avis du professeur il est impératif de mener des réflexions approfondies pour nous sortir du gouffre.

«J’espère qu’après les élections législatives du 30 juillet, les sénégalais se regarderont en face pour se dire une certaine vérité (…). Sinon, notre système va régresser. Et on doit s’y mettre dés après le 30 juillet», conclut-elle.     

 

Nouveau commentaire :

POLITIQUE | ECONOMIE | SOCIETE | CULTURE | SPORT | INTERNATIONAL | PEOPLE | TV & RADIO | TRIBUNE LIBRE | CONFIDENTIEL | COUP DE COEUR | COUP DE GUEULE | PORTRAIT | LETTRE DU JOUR | VU SUR FACEBOOK | FAITS DIVERS | INSOLITE | ILS ONT OSE LE DIRE | MEDIAS | EDITORIAL | COMMUNIQUE | NECROLOGIE | PUBLIREPORTAGE | NTIC | SANTE | JUSTICE | DIPLOMATIE | DIPLOMATIE | GUEST EDITORIALISTE | ENVIRONNEMENT | INSTITUTIONS | RELIGION | EDUCATION | AGRICULTURE | PAROLE DE CAMPAGNE | Antivirus, la chronique d'Abdoulaye Der | COVID-19 | KEEMTAAN GI | Echos des Locales 2022