C’est hier lundi, que le doyen des juges, Samba Sall, a inculpé et placé sous mandat de dépôt la fille qui insultait les wolofs via les réseaux sociaux. En prison pour «diffusion de message xénophobe par système d’informatique et d’injures au moyen de réseaux sociaux et de systèmes informatisés», elle a présenté ses excuses et invités les enquêteurs à écouter la vidéo de Assane Diouf. Celle-là qui l’a poussée à répliquer.
Cette affaire qui a fait couler beaucoup d’encre et de salive, n’en est qu’à son début. Les langues pendues qui s’en délectent attendent avec impatience sa suite.
Cette affaire qui a fait couler beaucoup d’encre et de salive, n’en est qu’à son début. Les langues pendues qui s’en délectent attendent avec impatience sa suite.
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