Menu



Ziarra annuelle de Fès : Thierno Malick Ba renforce la diplomatie religieuse “Remerciements et Appel à l’Engagement pour un Avenir Républicain” Serigne Bassirou Mbacké Abdou Khadr Mbacké: "Il est impossible d’implanter une école publique française dans le périmètre du titre foncier de Touba" Asphixie de la presse: la CAP tire la sonnette d'alarme Qui veut tuer la presse sénégalaise? Limogeage de Cheikh Dieng : la version du délégué du personnel de l'ONAS 𝑹𝒆𝒕𝒐𝒖𝒓 𝒔𝒖𝒓 𝒎𝒂 𝒗𝒊𝒔𝒊𝒕𝒆 𝒄𝒉𝒆𝒛 𝒍'𝒂𝒓𝒄𝒉𝒆𝒗𝒆̂𝒒𝒖𝒆 𝒅𝒆 𝑫𝒂𝒌𝒂𝒓, 𝑴𝒐𝒏𝒔𝒆𝒊𝒈𝒏𝒆𝒖𝒓 𝑩𝒆𝒏𝒋𝒂𝒎𝒊𝒏 𝑵𝑫𝑰𝑨𝒀𝑬 𝒔𝒖𝒓 𝒊𝒏𝒔𝒕𝒓𝒖𝒄𝒕𝒊𝒐𝒏 𝒅𝒖 𝑷𝒓𝒆𝒎𝒊𝒆𝒓 𝑴𝒊𝒏𝒊𝒔𝒕𝒓𝒆 𝑶𝒖𝒔𝒎𝒂𝒏𝒆 𝑺𝒐𝒏𝒌𝒐. Dr Aminata Sarr, directrice de la Télédiffusion du Sénégal (Tds-Sa), relève la vétusté des infrastructures et les besoins financiers nécessaires à leur renouvellement La Ligue des Imams défend Sonko: "Le Premier ministre est soucieux de notre vivre-ensemble suivant nos propres modèles et références" Monseigneur André Guèye, évêque de Thies sur le voile à l'école: "nous voulons plus de respect et de justice, nous revendiquons la liberté de mener nos activités" 

L'essentiel


google.com, pub-1148023042834496, DIRECT, f08c47fec0942fa0


Ouverture d’un dialogue ‘’franc’’ et ‘’sincère’’ : Babacar Gaye du Pds indique à Macky Sall la voie à suivre

POLITIQUE
Jeudi 12 Octobre 2017

Le Parti démocratique sénégalais n’est pas convaincu par la sortie du ministre, faisant état d’une volonté du pouvoir de faire des concessions pour le démarrage du dialogue. Parlant de ‘’déclarations à l’emporte-pièce », Babacar Gaye fixe les préalables à ‘’l’ouverture d’un dialogue franc et sincère’’. Le porte-parole national du Pds ne semble pas prendre au sérieux les propos tenus par le ministre de l’Intérieur et de la Sécurité publique, selon lesquels le gouvernement serait prêt à prendre en compte les préoccupations des opposants, afin que le dialogue puisse démarrer. « Nous considérons les déclarations à l’emporte-pièces de Macky Sall, relayés par son ministre de l’Intérieur, à propos d’un hypothétique dialogue politique, comme un moyen de gagner du temps », a indiqué Babacar Gaye, dans un entretien. Avant de souligner clairement : « aussi longtemps qu’ils estiment que les élections du 30 juillet ont été bien organisées et que la prison est une maison construite pour isoler des opposants, un dialogue n’est pas envisageable ». Pour M. Gaye, « il y a des préalables à l’ouverture d’un dialogue franc et sincère ». Il s’agit, selon lui, « des questions liées au processus électoral, principalement pour la nomination d’une autorité autonome chargée d’organiser les élections, l’audit du fichier électoral, etc. ». « Il urge aussi de vider les contentieux nés des affaires politico-judiciaires, pour une participation de tous les potentiels candidats à la prochaine présidentielle. Et enfin, il faut que les différents segments de la société s’entendent sur les modalités d’une gestion transparente de nos ressources nationales, entre autres problèmes », a-t-il renchéri. La conviction de l’ancien président du défunt Conseil régional de Kaffrine est faite que le ministre Aly Ngouille Ndiaye n’est pas la personne indiquée pour « donner les gages attendus par l’opposition ». Son camarade de parti, Doudou Wade, a émis sur la même fréquence. Pour lui, la sortie du ministre n’est ni plus ni moins qu’une farce de mauvais goût. « Il s’agit plutôt de reconnaitre les erreurs du ministère de l’Intérieur en ce qui concerne l’organisation des élections législatives du 30 juillet dernier. Et surtout, de régler le cas de Macky Sall, qui semble être l’unique blocage de ce dialogue politique. Le ministre de l’Intérieur me fait sourire. Il a, auparavant, en réponse au Livre blanc sur les élections législatives, fait des aveux sur l’inorganisation des élections, sinon sur l’organisation de la fraude et la mascarade du 30 juillet », a déclaré M. Wade, sur les ondes d’une radio de la place. D’après l’ancien président du groupe parlementaire des libéraux, « il ne peut y avoir dialogue, sans que l’équation dite Macky ne soit résolue ». « S’il (Aly Ngouille Ndiaye) est prêt à céder, c’est d’abord de reconnaître les fautes. La meilleure des solutions, c’est que le président réponde aux questions qui ont été posées par l’opposition. D’abord, reconnaitre lui-même les faits qu’il n’y a pas eu d’organisation des élections, mais une mascarade d’élection. Toutes les décisions qui ont été prises, l’ont été en dehors d’un consensus », a ajouté Doudou Wade. Vox Populi

Nouveau commentaire :

POLITIQUE | ECONOMIE | SOCIETE | CULTURE | SPORT | INTERNATIONAL | PEOPLE | TV & RADIO | TRIBUNE LIBRE | CONFIDENTIEL | COUP DE COEUR | COUP DE GUEULE | PORTRAIT | LETTRE DU JOUR | VU SUR FACEBOOK | FAITS DIVERS | INSOLITE | ILS ONT OSE LE DIRE | MEDIAS | EDITORIAL | COMMUNIQUE | NECROLOGIE | PUBLIREPORTAGE | NTIC | SANTE | JUSTICE | DIPLOMATIE | DIPLOMATIE | GUEST EDITORIALISTE | ENVIRONNEMENT | INSTITUTIONS | RELIGION | EDUCATION | AGRICULTURE | PAROLE DE CAMPAGNE | Antivirus, la chronique d'Abdoulaye Der | COVID-19 | KEEMTAAN GI | Echos des Locales 2022