- le 18 avril 2018 il s’envolait pour la France après avoir fait convoquer la plénière de l'Assemblée nationale pour une validation mécanique de son "parrainage". Il s'y fera enfariner et humilier ;
- le 31 août 2018, il reprend les airs pour la Chine, après avoir signé son décret de tentative de confiscation de la volonté populaire qui a légitimé Khalifa SALL comme maire de Dakar : dernier acte d'une honteuse cabale pour la liquidation politico-judiciaire d'un adversaire craint.
Tout ou presque a été dit sur le caractère illégal, lâche et bêtement méchant de ces affaires qui ne sont qu'un échantillon non exhaustif dans le répertoire d'un homme obsédé par un second mandat et hanté par sa gouvernance nébuleuse. Plus lâche encore est cette propension à fuir le pays après y avoir instauré des tensions vives.
Un de ces jours, une de ces fuites sera sans retour.
Mais le plus inquiétant dans tout ça, c'est l'atonie et l'apathie des Sénégalais face au monstre hideux.