« Je ne suis pas passé ici pour assister à un cirque, une sorte de théâtre organisé. J’ai préféré m’en aller. Quand il y aura du travail sérieux à l’Assemblée, nous reviendrons », a-t-il soutenu.
Avant de poursuivre : « Vous avez vu, ils ont accusé plus de 2 heures de retard. Ensuite ça applaudit à tout rompre, alors que le président a rappelé, dès le début, que les approbations n’étaient pas tolérées »
Toutes choses qui font croire à cet ancien inspecteur principal des impôts « qu’il n’y a rien à attendre de cette Législature qui sera pire que la précédente ».