Après la boutade du "lion qui dort" (toujours) du grand frère de Président, voici celle du "chat absent" du frangin qui, il faut le dire, aurait été plus avisé de choisir comme référence plutôt un de ces pachydermes des savanes.
Inconsciemment, ces références animales ne sont pourtant que l'expression d'une certaine conception fauve du pouvoir d'État par leurs auteurs, faite de brutalité, de cupidité, d'esprit de domination.
Esprit grégaire dont les mobiles sont la conservation du pouvoir d'État, l'accaparement et l'immunité."