«Ce constat a pris une résonance particulière lorsqu’on sait les rapports étroits mais tout aussi fréquent qui ont prévalu entre Aby Ndour et le ministère, lors d’activités festives consacrant la promotion de l’enfance dans l’agenda républicain. Il peut s’agir d’une forme de comportement cupide et maléfique, qui sous l’apparence d’un groupuscule, n’honore pas l’auteur et ses partisans», dit-il.
Ne s’en arrêtant pas là dans ses déclarations, Niokhobaye Diouf, s’est attaqué au programme de vacances «SEN PETIT GALÉ» qu’il considère comme une autre forme d’exploitation des jeunes enfants innocents sur scène.
«.. A travers des simulacres d’organisation de spectacles de danse et de chants qui, sans nul doute, corrompent l’existence de générations prometteuses en hypothéquant leur avenir. Car actuellement, les populations fragiles sont sacrifiées, dans la mesure où les intérêts privés liés à ce marché passent en priorité en dépravant les mœurs. Ce qui n’est ni conforme à l’éthique ni acceptable», a-t-il déclaré.
Toutefois, il n’a pas manqué de vanter les réalisation du ministre de la femme : «Madame la ministre a récemment pris des initiatives hardies allant dans le sens de susciter un ralliement national autour de la question en appuyant des familles démunies où vivent des enfants en situation difficile.»