Menu



“Remerciements et Appel à l’Engagement pour un Avenir Républicain” Serigne Bassirou Mbacké Abdou Khadr Mbacké: "Il est impossible d’implanter une école publique française dans le périmètre du titre foncier de Touba" Asphixie de la presse: la CAP tire la sonnette d'alarme Qui veut tuer la presse sénégalaise? Limogeage de Cheikh Dieng : la version du délégué du personnel de l'ONAS 𝑹𝒆𝒕𝒐𝒖𝒓 𝒔𝒖𝒓 𝒎𝒂 𝒗𝒊𝒔𝒊𝒕𝒆 𝒄𝒉𝒆𝒛 𝒍'𝒂𝒓𝒄𝒉𝒆𝒗𝒆̂𝒒𝒖𝒆 𝒅𝒆 𝑫𝒂𝒌𝒂𝒓, 𝑴𝒐𝒏𝒔𝒆𝒊𝒈𝒏𝒆𝒖𝒓 𝑩𝒆𝒏𝒋𝒂𝒎𝒊𝒏 𝑵𝑫𝑰𝑨𝒀𝑬 𝒔𝒖𝒓 𝒊𝒏𝒔𝒕𝒓𝒖𝒄𝒕𝒊𝒐𝒏 𝒅𝒖 𝑷𝒓𝒆𝒎𝒊𝒆𝒓 𝑴𝒊𝒏𝒊𝒔𝒕𝒓𝒆 𝑶𝒖𝒔𝒎𝒂𝒏𝒆 𝑺𝒐𝒏𝒌𝒐. Dr Aminata Sarr, directrice de la Télédiffusion du Sénégal (Tds-Sa), relève la vétusté des infrastructures et les besoins financiers nécessaires à leur renouvellement La Ligue des Imams défend Sonko: "Le Premier ministre est soucieux de notre vivre-ensemble suivant nos propres modèles et références" Monseigneur André Guèye, évêque de Thies sur le voile à l'école: "nous voulons plus de respect et de justice, nous revendiquons la liberté de mener nos activités"  Voile à l'école: Le Conseil national du Laïcat indigné par les "declarations maladroites" de Sonko

L'essentiel


google.com, pub-1148023042834496, DIRECT, f08c47fec0942fa0


Moussa Taye condamne les "propos mensongers" de Madior

POLITIQUE
Dimanche 2 Décembre 2018

Le Conseiller politique de Khalifa Ababacar Sall, Moussa Taye n'a pas du tout consommé la sortie du ministre de la Justice sur Khalifa Sall, révoqué par décret et incarcéré dans l'affaire de la Caisse d'avance. En effet, M. Taye a déploré les propos mensongers du Garde des Sceaux après que ce dernier a soutenu à l'Assemblée nationale que l'ex-maire de Dakar n'a pas nié les faits qui lui sont reprochés. 

"Lors de l’examen du budget de son département par l’Assemblée nationale, le ministre de la Justice s’est autorisé à prononcer une déclaration de culpabilité contre Khalifa Ababacar Sall en violation de son droit à la présomption d’innocence sanctionnée par la décision de la Cour de Justice de la CEDEAO", a demblée rappelé Moussa Taye. 
  
Selon lui, "cette déclaration dans une affaire pendante devant la Cour suprême tend à confirmer que nos juridictions rendent des décisions sous la dictée de l’exécutif. Cette grave déclaration pleine de mépris pour la justice, doit susciter l’indignation de l’Union des Magistrats du Sénégal et des organisations de défense des droits de l’homme ainsi que les citoyens épris de justice", estime-il. 
  
Et de poursuivre: "Dans la même veine que les déclarations de son patron de l’APR sur France 24, les propos mensongers de Ismaïla Madior Fall en disent long sur la volonté du pouvoir de transformer la justice en bras armé de sa lâche entreprise de liquidation d’adversaires politiques". 
  
Moussa Taye a déclaré que "dans cette procédure, Khalifa Ababacar Sall a toujours réfuté et continue de réfuter les accusations portées contre lui. Khalifa Ababacar Sall a toujours demandé et demande aujourd’hui encore à être traité comme tous les justiciables avec tous ses droits, notamment le droit à la présomption d’innocence, le droit de préparer sa défense et le droit à un procès équitable par des juges impartiaux", a-t-il insisté.

Nouveau commentaire :

POLITIQUE | ECONOMIE | SOCIETE | CULTURE | SPORT | INTERNATIONAL | PEOPLE | TV & RADIO | TRIBUNE LIBRE | CONFIDENTIEL | COUP DE COEUR | COUP DE GUEULE | PORTRAIT | LETTRE DU JOUR | VU SUR FACEBOOK | FAITS DIVERS | INSOLITE | ILS ONT OSE LE DIRE | MEDIAS | EDITORIAL | COMMUNIQUE | NECROLOGIE | PUBLIREPORTAGE | NTIC | SANTE | JUSTICE | DIPLOMATIE | DIPLOMATIE | GUEST EDITORIALISTE | ENVIRONNEMENT | INSTITUTIONS | RELIGION | EDUCATION | AGRICULTURE | PAROLE DE CAMPAGNE | Antivirus, la chronique d'Abdoulaye Der | COVID-19 | KEEMTAAN GI | Echos des Locales 2022