«Le Premier ministre Mahammad Boun Abdallah Dionne cherche désespérément des thèmes de campagne», c’est du moins l’avis de Moussa Taye, conseiller politique de Khalifa Sall. Selon lui, le chef du Gouvernement n’était pas préparé à être tête de liste et porté la campagne de Benno Bokk Yakaar. «Que lui et toute son équipe se le tiennent pour dit ! Au niveau de Manko, nous avons déjà pris toutes nos dispositions pour répondre à toute attaque malveillante avec les moyens appropriés», prévient-il.
Pour rappel, le Premier ministre avait lancé les hostilités en cette période de précampagne. La tête de liste de la coalition «Bennoo Bokk Yaakaar» n’avait pas manqué de salir la gestion des ordures par le maire de Dakar, Khalifa Sall, tête de liste de «Manko Taxawu Senegaal» avant de faire une comparaison avec celui de son frère de parti, Abdoulaye Diouf Sarr. Il juge très propre le bilan de l’Unité de coordination de gestion des déchets solides (UCG) par Abdoulaye Diouf Sarr.
D’un autre côté, il s’est prononcé sur les arguments développés par les avocats de Khalifa Sall et Cie, dont un arrêté de 2003 et un décret de 1966, pour leur accorder une liberté d’office. D’après le socialiste, ils ont toujours respecté les procédures. «Nous avons toujours brandi les arguments qui disculpent Khalifa Sall et ses codétenus. Au plan juridique, il n’y a aucun motif valable pour les arrêter. Et ça, nous le disons haut et fort. Si les procédures étaient respectées, ils ne seraient jamais en prison. Maintenant, si on respecte la loi, ils seront libres».
Pour rappel, le Premier ministre avait lancé les hostilités en cette période de précampagne. La tête de liste de la coalition «Bennoo Bokk Yaakaar» n’avait pas manqué de salir la gestion des ordures par le maire de Dakar, Khalifa Sall, tête de liste de «Manko Taxawu Senegaal» avant de faire une comparaison avec celui de son frère de parti, Abdoulaye Diouf Sarr. Il juge très propre le bilan de l’Unité de coordination de gestion des déchets solides (UCG) par Abdoulaye Diouf Sarr.
D’un autre côté, il s’est prononcé sur les arguments développés par les avocats de Khalifa Sall et Cie, dont un arrêté de 2003 et un décret de 1966, pour leur accorder une liberté d’office. D’après le socialiste, ils ont toujours respecté les procédures. «Nous avons toujours brandi les arguments qui disculpent Khalifa Sall et ses codétenus. Au plan juridique, il n’y a aucun motif valable pour les arrêter. Et ça, nous le disons haut et fort. Si les procédures étaient respectées, ils ne seraient jamais en prison. Maintenant, si on respecte la loi, ils seront libres».
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