Menu



“Remerciements et Appel à l’Engagement pour un Avenir Républicain” Serigne Bassirou Mbacké Abdou Khadr Mbacké: "Il est impossible d’implanter une école publique française dans le périmètre du titre foncier de Touba" Asphixie de la presse: la CAP tire la sonnette d'alarme Qui veut tuer la presse sénégalaise? Limogeage de Cheikh Dieng : la version du délégué du personnel de l'ONAS 𝑹𝒆𝒕𝒐𝒖𝒓 𝒔𝒖𝒓 𝒎𝒂 𝒗𝒊𝒔𝒊𝒕𝒆 𝒄𝒉𝒆𝒛 𝒍'𝒂𝒓𝒄𝒉𝒆𝒗𝒆̂𝒒𝒖𝒆 𝒅𝒆 𝑫𝒂𝒌𝒂𝒓, 𝑴𝒐𝒏𝒔𝒆𝒊𝒈𝒏𝒆𝒖𝒓 𝑩𝒆𝒏𝒋𝒂𝒎𝒊𝒏 𝑵𝑫𝑰𝑨𝒀𝑬 𝒔𝒖𝒓 𝒊𝒏𝒔𝒕𝒓𝒖𝒄𝒕𝒊𝒐𝒏 𝒅𝒖 𝑷𝒓𝒆𝒎𝒊𝒆𝒓 𝑴𝒊𝒏𝒊𝒔𝒕𝒓𝒆 𝑶𝒖𝒔𝒎𝒂𝒏𝒆 𝑺𝒐𝒏𝒌𝒐. Dr Aminata Sarr, directrice de la Télédiffusion du Sénégal (Tds-Sa), relève la vétusté des infrastructures et les besoins financiers nécessaires à leur renouvellement La Ligue des Imams défend Sonko: "Le Premier ministre est soucieux de notre vivre-ensemble suivant nos propres modèles et références" Monseigneur André Guèye, évêque de Thies sur le voile à l'école: "nous voulons plus de respect et de justice, nous revendiquons la liberté de mener nos activités"  Voile à l'école: Le Conseil national du Laïcat indigné par les "declarations maladroites" de Sonko

L'essentiel


google.com, pub-1148023042834496, DIRECT, f08c47fec0942fa0


Moussa Taye : «Khalifa Sall ne déférera à aucune convocation et ne recevra aucune commission à Rebeuss»

POLITIQUE
Mercredi 15 Novembre 2017

Le maire de Dakar ne compte pas répondre à une convocation de la Commission ad hoc mise en place pour statuer sur la levée de son immunité parlementaire, encore moins recevoir ses membres en prison, de l’avis de son conseiller politique. Khalifa Sall veut comparaître libre, souligne Moussa Taye. 

«Khalifa Sall ne déférera à aucune convocation et ne recevra aucune commission à Rebeuss», a déclaré Moussa Taye. Le Conseiller politique du maire de Dakar d’ajouter : «Nous sommes formels, nous considérons que la procédure est illégale». 
Selon ces propres termes, «aller devant la commission ou la recevoir signifierait que nous cautionnons cette illégalité».
Ce, d’autant plus qu’explique-t-il, dans «l’Observateur»: «Khalifa Sall est un député et sa place n’est pas en prison, il doit comparaitre libre. La procédure  normale serait que l’Assemblée exige l’arrêt des poursuites et qu’il recouvre la liberté». 

Le conseiller politique du maire de Dakar persiste et signe : «On ne peut pas le forcer à répondre ». Pis, «Depuis le début de cette affaire, on ne fait que violer ses droits», fulmine-t-il. 

Poursuivant, Moussa Taye déclare : «Nous nous attendons à tout, à tous les scénarii possibles. Mais Khalifa Sall ne peut quand même pas aller devant la commission accompagné de gardes pénitentiaires, ce serait une image vraiment dégradante pour notre démocratie». Non sans avertir : «Si on en venait à lui forcer la main, à lui imposer une présence, le moment, venu on jugera». 

Toutefois, le responsable socialiste (Khalifa Sall) ne se formalise pas outre mesure de la composition du bureau de la commission ad hoc. «Il faut comprendre que cela reflète la proportionnalité de l’Assemblée nationale, dit-il, raison pour laquelle il y a trois membres issus du groupe parlementaire majoritaire, BBY, et un de l’opposition. Donc, cela ne pose pas de problème en soi».

Avec Dakarmatin
 

Nouveau commentaire :

POLITIQUE | ECONOMIE | SOCIETE | CULTURE | SPORT | INTERNATIONAL | PEOPLE | TV & RADIO | TRIBUNE LIBRE | CONFIDENTIEL | COUP DE COEUR | COUP DE GUEULE | PORTRAIT | LETTRE DU JOUR | VU SUR FACEBOOK | FAITS DIVERS | INSOLITE | ILS ONT OSE LE DIRE | MEDIAS | EDITORIAL | COMMUNIQUE | NECROLOGIE | PUBLIREPORTAGE | NTIC | SANTE | JUSTICE | DIPLOMATIE | DIPLOMATIE | GUEST EDITORIALISTE | ENVIRONNEMENT | INSTITUTIONS | RELIGION | EDUCATION | AGRICULTURE | PAROLE DE CAMPAGNE | Antivirus, la chronique d'Abdoulaye Der | COVID-19 | KEEMTAAN GI | Echos des Locales 2022