Pour preuves, il avance les résultats de l’autopsie qui étayent cette thèse : «fracture au visage, cou brisé, aucune blessure au corps». Ajoutant à cela «une moto intacte», il réaffirme que «son fils a été assassiné par celui qui lui a porté le coup fatal et non la chute.»
Dans ce combat qu’il compte mener à «visage découvert avec ses avocats et tous les organismes des droits de l’homme, aux plans national et international», plus que le père, c’est un citoyen déterminé qui veut «la justice et la vérité» en s’appuyant sur les institutions de son pays, notamment un procureur qu’il dit «ouvert, disponible qui a promis de ne protéger personne», des témoins oculaire insensibles aux «menaces, intimidations et diffusions de fausses nouvelles» et même le ministre de l’intérieur dont «le fonctionnement des services accusés, qui les ont empêché d’assister à l’autopsie et retenu le corps du défunt du samedi au mardi pose cependant problème».
Sa seule crainte maintenant, c’est la «manipulation» avec «les 10 témoins à décharge sortis du cachot et qui n’ont aucune crédibilité» mais il «renvoie tout le monde à Dieu l’Omniscient.»