Menu



“Remerciements et Appel à l’Engagement pour un Avenir Républicain” Serigne Bassirou Mbacké Abdou Khadr Mbacké: "Il est impossible d’implanter une école publique française dans le périmètre du titre foncier de Touba" Asphixie de la presse: la CAP tire la sonnette d'alarme Qui veut tuer la presse sénégalaise? Limogeage de Cheikh Dieng : la version du délégué du personnel de l'ONAS 𝑹𝒆𝒕𝒐𝒖𝒓 𝒔𝒖𝒓 𝒎𝒂 𝒗𝒊𝒔𝒊𝒕𝒆 𝒄𝒉𝒆𝒛 𝒍'𝒂𝒓𝒄𝒉𝒆𝒗𝒆̂𝒒𝒖𝒆 𝒅𝒆 𝑫𝒂𝒌𝒂𝒓, 𝑴𝒐𝒏𝒔𝒆𝒊𝒈𝒏𝒆𝒖𝒓 𝑩𝒆𝒏𝒋𝒂𝒎𝒊𝒏 𝑵𝑫𝑰𝑨𝒀𝑬 𝒔𝒖𝒓 𝒊𝒏𝒔𝒕𝒓𝒖𝒄𝒕𝒊𝒐𝒏 𝒅𝒖 𝑷𝒓𝒆𝒎𝒊𝒆𝒓 𝑴𝒊𝒏𝒊𝒔𝒕𝒓𝒆 𝑶𝒖𝒔𝒎𝒂𝒏𝒆 𝑺𝒐𝒏𝒌𝒐. Dr Aminata Sarr, directrice de la Télédiffusion du Sénégal (Tds-Sa), relève la vétusté des infrastructures et les besoins financiers nécessaires à leur renouvellement La Ligue des Imams défend Sonko: "Le Premier ministre est soucieux de notre vivre-ensemble suivant nos propres modèles et références" Monseigneur André Guèye, évêque de Thies sur le voile à l'école: "nous voulons plus de respect et de justice, nous revendiquons la liberté de mener nos activités"  Voile à l'école: Le Conseil national du Laïcat indigné par les "declarations maladroites" de Sonko

L'essentiel


google.com, pub-1148023042834496, DIRECT, f08c47fec0942fa0


Me Babacar Ndiaye accuse la justice de deux poids deux mesures : «Des chefs religieux sont accusés de meurtre et ne sont pas jugés… Imam Ndao est là parce qu'il est Ibadou»

JUSTICE
Jeudi 31 Mai 2018

Me Babacar Ndiaye accuse la justice de deux poids deux mesures : «Des chefs religieux sont accusés de meurtre et ne sont pas jugés… Imam Ndao est là parce qu'il est Ibadou»
Le procès de l'Imam Ndao et de ses co-accusés serait celui de la stigmatisation d'une communauté religieuse. Celle des salafistes communément appelés “Ibadou rahmane” au Sénégal. C'est la conviction de Me Babacar Ndiaye.  

Tout au moins, le conseil du prédicateur accusé d'avoir adhéré à un projet d'installation d'une cellule jihadiste au Sénégal, ne comprend pas que son client et ses co-accusés soient trainés devant les tribunaux tandis que des chefs religieux poursuivis pour meurtre n'ont pas à ce jour été jugés. 
L'avocat a dénoncé cette “discrimination” avec une verve telle qu'il a été rappelé à l'ordre par le président de la chambre. Mais la suite a prouvé que rien ne pouvait arrêter l'avocat qui a tout de même laissé le terrain glissant des chefs confrériques pour une incursion dans le conflit casamançais. Tout ça pour dire que le terrorisme ne peut être l'apanage de l'Islam. “On qualifie les rebelles d'irrédentistes alors qu'ils attaquent des institutions, brûlent le drapeau national. Ils sont des terroristes”, assume la robe noire. 

Pour sa part, Me El Hadji Basse s'attend à ce que le procureur "requalifie" ce qui se passe dans le sud du Sénégal mais tire déjà ses conclusions pour mettre hors de cause son client et ses co-accusés. 
 

Nouveau commentaire :

POLITIQUE | ECONOMIE | SOCIETE | CULTURE | SPORT | INTERNATIONAL | PEOPLE | TV & RADIO | TRIBUNE LIBRE | CONFIDENTIEL | COUP DE COEUR | COUP DE GUEULE | PORTRAIT | LETTRE DU JOUR | VU SUR FACEBOOK | FAITS DIVERS | INSOLITE | ILS ONT OSE LE DIRE | MEDIAS | EDITORIAL | COMMUNIQUE | NECROLOGIE | PUBLIREPORTAGE | NTIC | SANTE | JUSTICE | DIPLOMATIE | DIPLOMATIE | GUEST EDITORIALISTE | ENVIRONNEMENT | INSTITUTIONS | RELIGION | EDUCATION | AGRICULTURE | PAROLE DE CAMPAGNE | Antivirus, la chronique d'Abdoulaye Der | COVID-19 | KEEMTAAN GI | Echos des Locales 2022