Le conseil est convaincu que tout faux n’est pas punissable. "Le faux et l'usage de faux sont des infractions distinctes", a-t-il précisé. Pour lui, l'édile "n'a jamais fait usage de faux documents". "L'acte d’usage de faux imputé à monsieur Khalifa Sall n'a pas été prouvé. Personne ne peut le condamner de ce chef d’inculpation. Le faux incriminé est d’ordre intellectuel", plaide l'avocat, estimant que "l'association de malfaiteurs suppose une entente". "Et pour l’entente, il faut qu’il ait des actes prémédités. Ces actes doivent être détachables de ceux postérieurs à l’infraction", recadre l'avocat à la Cour...
Avec Dakaractu