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Mansour SY Djamil : «On va vers des lendemains pas sûrs…»

POLITIQUE
Vendredi 3 Novembre 2017

Le leader de Bës du Ñakk n’est pas optimiste quant à l’avenir du Sénégal.
 
Le député non-inscrit, qui a assisté hier à la mise en place de la Commission ad hoc chargée de statuer sur la levée ou non de l’immunité parlementaire de Khalifa SALL, est parti de l’Assemblée nationale très pessimiste. Selon lui,  Khalifa SALL fait l’objet d’un acharnement.
«Pourquoi lui, alors qu’on l’accuse de pratiques connues depuis très longtemps, depuis Samba GUEYE, Clédor SALL, Mamadou DIOP, Lamine DIACK. La deuxième raison : c’est la temporalité au moment de son arrestation, à quelques mois des élections législatives…La troisième raison : c’est la disproportionnalité. Khalifa SALL a géré en dix ans cinq cent cinquante-trois milliards. Personne ne pouvait l’accuser de quoi que ce soit. On est en train de l’affaiblir et de  l’accuser pour un milliards huit cents millions, pour quelqu’un  qui a géré pendant dix ans cinq cent cinquante-trois milliards. Pour toutes ces raisons-là, nous considérons qu’il faut libérer Khalifa SALL le plus rapidement possible », martèle Mansour SY Djamil.
Ne s’arrêtant pas à ces observations, le leader de Bës du Ñakk interpelle les guides religieux pour «arrêter» Macky SALL.

«Aujourd’hui, je lance un appel aux dignitaires religieux,  au Khalife (des Mourides-ndlr) qui reçoit aujourd’hui Macky SALL. Macky SALL est actuellement à Touba et comme il ne veut pas entendre raison, je trouve que simplement il va entendre la voix sacrée de notre grand-père, le Khalife général des Mourides. Je lance également un appel au Khalife général des Tidianes pour que l’ensemble des khalifes qui sont ici au Sénégal discutent avec Macky SALL parce que ce qu’il est en train de faire est un précédent  extrêmement dangereux et si on le laisse faire et si tout le monde croise les bras, on va vers des lendemains loin d’être  sûrs et pour cela, il faut l’arrêter», avertit Mansour SY Djamil.

Avec Walfnet

 

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