«Sur les menaces sur la non-organisation des élections, ça, c’est devant nous. De toute façon, le pays va tenir ces élections. Le Conseil constitutionnel a décidé, et nous nous sommes soumis, il y a 15 jours. La liste Yewwi de Dakar n’était pas recevable, le Conseil a fait une interprétation et a dit qu’il faut qu’elle soit acceptée. Le ministre s’est incliné et a fait des corrections. Pourquoi, lorsqu’il s’agit de l’opposition, quand il y a une décision qui est défavorable, il faut appeler à la fin du monde ? Ce n’est pas comme ça qu’on respecte la démocratie», a déclaré Macky Sall.
Le chef de l’Etat de renchérir : «Par exemple, la loi sur la parité, le Sénégal ne peut pas revenir en arrière : une liste qui n’est pas paritaire, elle n’est pas recevable. Un trait, un point. Si vous faites une liste qui ne respecte pas la loi, elle est éliminée, tout simplement».