Connu pour être le dissident le plus réfractaire à ce qu'il qualifie de "système", Monsieur SONKO est rendu célèbre grâce aux dénonciations des pratiques opaques et occultes que le "système" régentait contre les intérêts du peuple sénégalais. Lesquelles dénonciations lui ont valu sa radiation au poste de haut inspecteur des impôts et domaines car selon le "système", il aurait divulgué des secrets professionnels en liaison avec l’exercice de sa fonction assujettie au droit de réserve.
La question que je me pose la dessus est la suivante: Doit-on faire prévaloir le droit de réserve sur le devoir à la dénonciation ? Selon Einstein, le mal gagne du terrain face à l'inaction du bien. Si aussi, on se réfère au saint coran, celui qui reste insensé et indiffèrent face aux atrocités et exactions commises contre son peuple rendra compte au jour du jugement dernier.
Donc, sur ce sujet, Monsieur a bien raison de dénoncer le « système ».Cette notion de "droit de réserve" est un concept que les sénégalais ont emprunté aux français et qui consiste à interdire au fonctionnaire de faire de sa fonction l’instrument d’une propagande quelconque. Il s'agit d'une application du principe de neutralité du service public, néanmoins balancé par les droits dont bénéficie chacun (liberté d'expression, droits syndicaux etc.), y compris lorsqu'il est fonctionnaire. Ce devoir n'est pas inscrit dans la loi mais est consacré par la jurisprudence. Il concerne le mode d'expression des opinions et non leur contenu
Par définition, un système est un ensemble d'éléments lies les uns aux autres et qui concourent à un même objectif.
Monsieur SONKO est aujourd’hui l’acteur politique anticonformiste qui calque ses principes et convictions sur les valeurs cardinales, orthodoxes et cartésiennes.
Ainsi, il se présente comme étant un anticorps et un antivirus contre le système qui agit en tant qu’agent pathogène avec toutes ses horreurs et atrocités (Corruption, manipulation, concussion, mensonge, vol, injustice, arrogance, prétention, vanité, populisme, complotisme, conspiration, exorcisme, LGBT, décadence, perversion, abomination…etc). dans l’organisme de la république.
Si on fait un portrait-robot de sa personne d’après les propos recueillis auprès de ses collègues et proches collaborateurs, il serait un éminent inspecteur des impôts et domaines très compètent, très rigoureux et très exigeant.il est aussi présenté comme quelqu’un d’intègre, un homme très attache aux préceptes religieux mais aussi un révolutionnaire déclaré.
Au plan national, Ousmane SONKO gagne de plus en plus la sympathie des sénégalais surtout ceux de la nouvelle génération en état de vote en 2019 tant par l’éloquence de ses paroles, la clarté de son discours, la formulation de ses arguments, la simplicité de son habillement avec lunettes bien visées, chemises bien chapées, cravate bien serrées, tète bien rasée et chaussures bien cirées. C’est aussi un intellectuel très cultivé et très concret comme l’atteste le fameux livre ou programme politique qu’il a écrit pour le proposer aux sénégalais. C’est une supernova à l’allure d’un outsider politique qui commence à étendre ses tentacules sur le territoire national.si on fait un sondage actuel de sa popularité comparée aux législatives passées, on se rendrait compte qu’il a effectué des pas de géants devant les partis politiques traditionnels.
Au plan international ou de la diaspora, Ousmane SONKO fait paniquer le pouvoir avec la montée fulgurante de ses militants à l’étranger.
Comme tout être humain, SONKO a des qualités intrinsèques mais traine quand même quelques défauts dont les plus manifestes sont son caractère réactionnaire et impulsif, son discours musclé et belliqueux ainsi que sa mégalomanie démesurée. Il lui manque aussi d’humilité pour gérer sa cote de popularité et son aura. Convaincu de son humeur volatile et brutale, le parti au pouvoir utilise comme chausse-trappe cette carence pour révéler au public sénégalais la nature herméneutique et dépréciative de l’homme SONKO.
Le deuxième défaut auquel il est confronté est cette dimension mythologique et démiurgique que ses militants, partisans et sympathisants lui attribuent. Ils nous vendent SONKO comme étant un ZORRO, un homme providentiel détenant par devers lui une baguette magique avec un pouvoir alchimique pouvant tout dire et tout faire.
Ses attitudes insuffisantes et défectueuses commencent à faire dégringoler son halo au regard des sénégalais.
Le premier combat auquel SONKO fera face est le « système » qu’il a tant décrié et tant brocardé mais ce qui est paradoxal c’est le fait de vouloir lutter contre le « système » qui t’a pourtant engendré.je pense naturellement et logiquement qu’il va y laisser les plumes car l’éradication tous azimuts des puissants leaders comme SANKARA, LUBUMBA, MADIBA, CHEGUEVARA…etc. n’a aucune chance de laisser en vie un épiphénomène comme SONKO.
Le « système » auquel il fait allusion est beaucoup plus large qu’il le pretend.au fait, « le système » revêt un caractère omniprésent et omnipotent on y retrouve des hommes d’affaires, de haut gradés de l’armée, de haut fonctionnaires des magistrats, l’administration, la bourgeoisie, des médecins, des musiciens, des artistes, des animateurs, le monde des médias, Orange, Total, Bolloré, Necotrans, Eiffage, Auchan, les multinationales, les banques, les sociétés d’assurance, FMI, Banque Mondiale…etc. c’est une entreprise très organisée et construite depuis des âges pour mettre en place le nouvel ordre mondial. L’arbre de SONKO ne peut pas cacher la forêt de ce « système ».c’est ce même « système » qui a imposé un chrétien comme président dans un pays ou 95% sont de confession musulmane car l’objectif principal était de vendre le model laïque en Afrique en commençant par le Sénégal en tant que pays stratégique et en tant que la plus vieille démocratie du continent qui a connu le vote depuis 1848 avec l’élection du premier représentant au palais de Bourbon avec Blaise DIAGNE comme premier députe noir d’Afrique. Le Sénégal est la citadelle de ce « système » car toutes les décisions majeures politiques en Afrique se font toujours depuis le Sénégal. On peut citer en exemple le discours d’accession à l’indépendance, la mobilisation des troupes militaires pour libérer le peuple sénégalais des hordes hitlériennes plus connues sous le nom des tirailleurs sénégalais, la dévaluation du FCFA en 1994 a été fomentée depuis le Sénégal, la démocratie multipartiste a débuté au Sénégal en 1981, Les politiques d’ajustement structurel ont pris naissance dans cette nation historique et c’est dans le prolongement de cette même politique économique que les APE ont été mis au gout du jour depuis le Sénégal et cela a abouti à AUCHAN que d’aucuns traitent de tueur silencieux de nos commerçants locaux.
C’est ce « système » qui a implanté la première loge maçonnique d’Afrique à Saint-Louis en 1781 et par conséquent, tous nos présidents ont reçu l’initiation dans les temples du Grand Orient de France(GODF).
C’est ce « système » qui a comploté avec SENGHOR pour éliminer Mamadou DIA, Valdidio NDIAYE.
C’est ce « système » qui, de connivence avec SENGHOR a liquidé Cheikh Anta DIOP, anthropologue, égyptologue, historien, physicien, inventeur du Carbone 14 et dont ses œuvres sont toujours méconnues des sénégalais.
C’est ce « système » qui a poussé à notre président à défendre le FCFA qu’il considère comme étant une monnaie forte et soutenable.
C’est ce « système » qui a imposé à notre président à sauver l’industrie ALSTOM en lui attribuant le juteux marche de 600 milliards sur le TER.
C’est ce « système » qui a convoqué Dominique Strauss KAHN auprès de Macky SALL en tant que conseiller pétrolier.
C’est ce « système » qui a bradé nos ressources minières, gazières et pétrolières et dont ce dernier est le cas le plus nébuleux car notre très chère nation n’en dispose que 5% des recettes issues du pétrole, une aubaine pour Total, Frank TIMIS et Kosmos ENERGY.
C’est ce « système qui est derrière la ligue LGBT et la diffusion de certaines séries au Sénégal pour faire leur promotion.
C’est ce « système » qui est à l’origine de la construction des temples maçonniques au Sénégal pour canaliser leurs énergies sataniques dans leurs rituels magiques.
Tous ses arguments sont largement suffisants pour démontrer à quel point le « système » est hyperpuissant et que Monsieur SONKO doive se préparer à toutes formes de diabolisation et de conspiration de la part de ses pourfendeurs pour procéder à son extermination politique.
C’est dans cette foulée que des voix se sont levées pour le traiter de candidat de DAESH qui prépare à une islamisation de notre très chère république.
Plus les joutes s’approchent, plus les complotistes se dévoileront pour l’exécuter dans la guillotine du « systemania ».
Monsieur SONKO est certes présidentiable mais son idéal politique va buter sur la real politique avec l’état profond ou l’Elite occulte qui constitue le « système » contre lequel, il veut se rebeller. Ce « système » est construit de sorte que pour exister, il faut tout accepter.la devise du système est : soit on coopère ou soit on perd.
Si le peuple sénégalais veut réellement SONKO comme Président, il lui faut être prêt à se sacrifier sur 10 ans car à part restaurer les valeurs qu’on a perdues, reformer l’administration, pourchasser la corruption, rétablir la justice et l’état de droit, affaiblir l’hyper-pouvoir du Président de la république, garantir l’indépendance de la justice par rapport à l’exécutif, renégocier les contrats pétroliers et certaines conventions signées avec des multinationales, consolider la démocratie, faire la reddition des comptes, rééquilibrer la balance commerciale et budgétaire, lutter contre l’invasion fiscale, rapatrier les fonds disparus dans les crédits offshore, assainir l’écosystème des affaires, améliorer la qualité de l’enseignement et de la formation professionnelle, réduire les inégalités sociales et les disparités sinon, il peut pas assurer l’émergence du ventre et de la poche comme l’auraient bien souhaité par beaucoup de sénégalais car le « système » ne va pas dit ou lui faciliter la tâche. Hugo CHAVEZ et Fidel CASTRO en ont fait les frais.
Mansour Mbaye
La question que je me pose la dessus est la suivante: Doit-on faire prévaloir le droit de réserve sur le devoir à la dénonciation ? Selon Einstein, le mal gagne du terrain face à l'inaction du bien. Si aussi, on se réfère au saint coran, celui qui reste insensé et indiffèrent face aux atrocités et exactions commises contre son peuple rendra compte au jour du jugement dernier.
Donc, sur ce sujet, Monsieur a bien raison de dénoncer le « système ».Cette notion de "droit de réserve" est un concept que les sénégalais ont emprunté aux français et qui consiste à interdire au fonctionnaire de faire de sa fonction l’instrument d’une propagande quelconque. Il s'agit d'une application du principe de neutralité du service public, néanmoins balancé par les droits dont bénéficie chacun (liberté d'expression, droits syndicaux etc.), y compris lorsqu'il est fonctionnaire. Ce devoir n'est pas inscrit dans la loi mais est consacré par la jurisprudence. Il concerne le mode d'expression des opinions et non leur contenu
Par définition, un système est un ensemble d'éléments lies les uns aux autres et qui concourent à un même objectif.
Monsieur SONKO est aujourd’hui l’acteur politique anticonformiste qui calque ses principes et convictions sur les valeurs cardinales, orthodoxes et cartésiennes.
Ainsi, il se présente comme étant un anticorps et un antivirus contre le système qui agit en tant qu’agent pathogène avec toutes ses horreurs et atrocités (Corruption, manipulation, concussion, mensonge, vol, injustice, arrogance, prétention, vanité, populisme, complotisme, conspiration, exorcisme, LGBT, décadence, perversion, abomination…etc). dans l’organisme de la république.
Si on fait un portrait-robot de sa personne d’après les propos recueillis auprès de ses collègues et proches collaborateurs, il serait un éminent inspecteur des impôts et domaines très compètent, très rigoureux et très exigeant.il est aussi présenté comme quelqu’un d’intègre, un homme très attache aux préceptes religieux mais aussi un révolutionnaire déclaré.
Au plan national, Ousmane SONKO gagne de plus en plus la sympathie des sénégalais surtout ceux de la nouvelle génération en état de vote en 2019 tant par l’éloquence de ses paroles, la clarté de son discours, la formulation de ses arguments, la simplicité de son habillement avec lunettes bien visées, chemises bien chapées, cravate bien serrées, tète bien rasée et chaussures bien cirées. C’est aussi un intellectuel très cultivé et très concret comme l’atteste le fameux livre ou programme politique qu’il a écrit pour le proposer aux sénégalais. C’est une supernova à l’allure d’un outsider politique qui commence à étendre ses tentacules sur le territoire national.si on fait un sondage actuel de sa popularité comparée aux législatives passées, on se rendrait compte qu’il a effectué des pas de géants devant les partis politiques traditionnels.
Au plan international ou de la diaspora, Ousmane SONKO fait paniquer le pouvoir avec la montée fulgurante de ses militants à l’étranger.
Comme tout être humain, SONKO a des qualités intrinsèques mais traine quand même quelques défauts dont les plus manifestes sont son caractère réactionnaire et impulsif, son discours musclé et belliqueux ainsi que sa mégalomanie démesurée. Il lui manque aussi d’humilité pour gérer sa cote de popularité et son aura. Convaincu de son humeur volatile et brutale, le parti au pouvoir utilise comme chausse-trappe cette carence pour révéler au public sénégalais la nature herméneutique et dépréciative de l’homme SONKO.
Le deuxième défaut auquel il est confronté est cette dimension mythologique et démiurgique que ses militants, partisans et sympathisants lui attribuent. Ils nous vendent SONKO comme étant un ZORRO, un homme providentiel détenant par devers lui une baguette magique avec un pouvoir alchimique pouvant tout dire et tout faire.
Ses attitudes insuffisantes et défectueuses commencent à faire dégringoler son halo au regard des sénégalais.
Le premier combat auquel SONKO fera face est le « système » qu’il a tant décrié et tant brocardé mais ce qui est paradoxal c’est le fait de vouloir lutter contre le « système » qui t’a pourtant engendré.je pense naturellement et logiquement qu’il va y laisser les plumes car l’éradication tous azimuts des puissants leaders comme SANKARA, LUBUMBA, MADIBA, CHEGUEVARA…etc. n’a aucune chance de laisser en vie un épiphénomène comme SONKO.
Le « système » auquel il fait allusion est beaucoup plus large qu’il le pretend.au fait, « le système » revêt un caractère omniprésent et omnipotent on y retrouve des hommes d’affaires, de haut gradés de l’armée, de haut fonctionnaires des magistrats, l’administration, la bourgeoisie, des médecins, des musiciens, des artistes, des animateurs, le monde des médias, Orange, Total, Bolloré, Necotrans, Eiffage, Auchan, les multinationales, les banques, les sociétés d’assurance, FMI, Banque Mondiale…etc. c’est une entreprise très organisée et construite depuis des âges pour mettre en place le nouvel ordre mondial. L’arbre de SONKO ne peut pas cacher la forêt de ce « système ».c’est ce même « système » qui a imposé un chrétien comme président dans un pays ou 95% sont de confession musulmane car l’objectif principal était de vendre le model laïque en Afrique en commençant par le Sénégal en tant que pays stratégique et en tant que la plus vieille démocratie du continent qui a connu le vote depuis 1848 avec l’élection du premier représentant au palais de Bourbon avec Blaise DIAGNE comme premier députe noir d’Afrique. Le Sénégal est la citadelle de ce « système » car toutes les décisions majeures politiques en Afrique se font toujours depuis le Sénégal. On peut citer en exemple le discours d’accession à l’indépendance, la mobilisation des troupes militaires pour libérer le peuple sénégalais des hordes hitlériennes plus connues sous le nom des tirailleurs sénégalais, la dévaluation du FCFA en 1994 a été fomentée depuis le Sénégal, la démocratie multipartiste a débuté au Sénégal en 1981, Les politiques d’ajustement structurel ont pris naissance dans cette nation historique et c’est dans le prolongement de cette même politique économique que les APE ont été mis au gout du jour depuis le Sénégal et cela a abouti à AUCHAN que d’aucuns traitent de tueur silencieux de nos commerçants locaux.
C’est ce « système » qui a implanté la première loge maçonnique d’Afrique à Saint-Louis en 1781 et par conséquent, tous nos présidents ont reçu l’initiation dans les temples du Grand Orient de France(GODF).
C’est ce « système » qui a comploté avec SENGHOR pour éliminer Mamadou DIA, Valdidio NDIAYE.
C’est ce « système » qui, de connivence avec SENGHOR a liquidé Cheikh Anta DIOP, anthropologue, égyptologue, historien, physicien, inventeur du Carbone 14 et dont ses œuvres sont toujours méconnues des sénégalais.
C’est ce « système » qui a poussé à notre président à défendre le FCFA qu’il considère comme étant une monnaie forte et soutenable.
C’est ce « système » qui a imposé à notre président à sauver l’industrie ALSTOM en lui attribuant le juteux marche de 600 milliards sur le TER.
C’est ce « système » qui a convoqué Dominique Strauss KAHN auprès de Macky SALL en tant que conseiller pétrolier.
C’est ce « système » qui a bradé nos ressources minières, gazières et pétrolières et dont ce dernier est le cas le plus nébuleux car notre très chère nation n’en dispose que 5% des recettes issues du pétrole, une aubaine pour Total, Frank TIMIS et Kosmos ENERGY.
C’est ce « système qui est derrière la ligue LGBT et la diffusion de certaines séries au Sénégal pour faire leur promotion.
C’est ce « système » qui est à l’origine de la construction des temples maçonniques au Sénégal pour canaliser leurs énergies sataniques dans leurs rituels magiques.
Tous ses arguments sont largement suffisants pour démontrer à quel point le « système » est hyperpuissant et que Monsieur SONKO doive se préparer à toutes formes de diabolisation et de conspiration de la part de ses pourfendeurs pour procéder à son extermination politique.
C’est dans cette foulée que des voix se sont levées pour le traiter de candidat de DAESH qui prépare à une islamisation de notre très chère république.
Plus les joutes s’approchent, plus les complotistes se dévoileront pour l’exécuter dans la guillotine du « systemania ».
Monsieur SONKO est certes présidentiable mais son idéal politique va buter sur la real politique avec l’état profond ou l’Elite occulte qui constitue le « système » contre lequel, il veut se rebeller. Ce « système » est construit de sorte que pour exister, il faut tout accepter.la devise du système est : soit on coopère ou soit on perd.
Si le peuple sénégalais veut réellement SONKO comme Président, il lui faut être prêt à se sacrifier sur 10 ans car à part restaurer les valeurs qu’on a perdues, reformer l’administration, pourchasser la corruption, rétablir la justice et l’état de droit, affaiblir l’hyper-pouvoir du Président de la république, garantir l’indépendance de la justice par rapport à l’exécutif, renégocier les contrats pétroliers et certaines conventions signées avec des multinationales, consolider la démocratie, faire la reddition des comptes, rééquilibrer la balance commerciale et budgétaire, lutter contre l’invasion fiscale, rapatrier les fonds disparus dans les crédits offshore, assainir l’écosystème des affaires, améliorer la qualité de l’enseignement et de la formation professionnelle, réduire les inégalités sociales et les disparités sinon, il peut pas assurer l’émergence du ventre et de la poche comme l’auraient bien souhaité par beaucoup de sénégalais car le « système » ne va pas dit ou lui faciliter la tâche. Hugo CHAVEZ et Fidel CASTRO en ont fait les frais.
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